Mercredi 1er mars, les trentièmes Victoires de la musique "classique" ont couronné pour la cinquième fois Bertrand Chamayou, sacré soliste instrumental de l'année.
Discret, aimable, humble, ce grand pianiste est le symbole de l'excellente santé du piano français. Dans sa belle discographie, on retient, entre autres, le coffret dédié aux Années de pèlerinage de Liszt. C'est dans un Liszt flamboyant que je vous propose de l'écouter ce dimanche matin. La Fantaisie Hongroise est une pièce qui évoque pour moi des souvenirs d'enfance. Je l'avais, en disque noir, par Georges Cziffra. Chamayou n'a pas à rougir de la comparaison. Ce n'est pas peu.
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