Il y avait chez le regretté Nicholas Angelich un art de caresser la musique en ayant l’air de toucher à peine le clavier que je retrouve chez Lucas Debargue. Même pouvoir de nous faire partager ses mondes musicaux intérieurs.
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Il y avait chez le regretté Nicholas Angelich un art de caresser la musique en ayant l’air de toucher à peine le clavier que je retrouve chez Lucas Debargue. Même pouvoir de nous faire partager ses mondes musicaux intérieurs.
RépondreSupprimerSilvano, quelle émotion vous nous offrez... Merci mille fois !
RépondreSupprimer