Je vous sais indulgent(e)s. Aussi me pardonnerez-vous de m'autociter : dans le dernier épisode publié de votre (pour certain.e.s) feuilleton, l'oncle du narrateur définit comme "efféminée" l'allure du jeune Émile Boisselier. Sans pour autant célébrer ceux/celles que nos anciens appelaient "folles tordues", j'avoue apprécier les garçons d'aspect gracieux. Sans excès, donc, sachant à quoi les exposeraient, dans la société de leurs concitoyens "jeunes adultes", ce que d'aucun(e)s désignent par "des manières" trop connotées. Car la célébration récente du dixième anniversaire de la loi sur le mariage pour tous ne doit pas nous le cacher, le droit à la différence n'est pas encore entré dans les mœurs, loin de là ! Ainsi, il y a peu, une mère de famille lambda me désignant un jeune homme qui n'a pour tare que l'apparence construite au fil de nombreuses années de pratique du patinage artistique, qu'il avait "mauvais genre". Ce garçon, de plus (ou de moins), est strictement hétérosexuel. Voici, en images, cinq charmants jeunes gens qui ont, selon certain(e)s... mauvais genre :
Le garçon au chapeau a une classe folle (sans jeu de mots).
RépondreSupprimerJe ne trouve pas ces jeunes "efféminés" ou "mauvais genre" . Quel sont les critères ?
RépondreSupprimeruvdp : il y a un texte au-dessus de photos.
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