Fils de Jérôme Kircher et d'Irène Jacob,
Samuel Kircher (frère de Paul, admirable dans Le lycéen, de Christophe Honoré),
est bouleversant en adolescent doté de la beauté du diable
dans Le dernier été de Catherine Breillat (actuellement en salles).
Il est heureux, en ces temps de frilosités, que l'on ose aborder des sujets
"sulfureux", tel celui du détournement de majeure par un ange que dévore la passion
pour une belle-mère qui s'étiole dans une vie de couple sans relief.
Une brève histoire qui laissera le gamin dévasté, après que tout est rentré dans l'ordre,
l'ordre des adultes, sans pitié pour ceux qui osent l'enfreindre.
Grand film.
"sulfureux", tel celui du détournement de majeure par un ange que dévore la passion
pour une belle-mère qui s'étiole dans une vie de couple sans relief.
Une brève histoire qui laissera le gamin dévasté, après que tout est rentré dans l'ordre,
l'ordre des adultes, sans pitié pour ceux qui osent l'enfreindre.
Grand film.
Samuel Kircher, bouleversant, et Léa Drucker à son meilleur |
Évidemment :
Remarquable ressemblance avec le jeune Bjorn Andresen. Tadzio dans Mort à Venise de Visconti.
RépondreSupprimer@Nick : peu ou prou, oui. En plus mûr : il a 19 ans.
RépondreSupprimerEn espérant, évidemment, que la carrière de Samuel Kircher ne se limite pas à un seul "grand" film comme celle de Bjorn Andresen.
RépondreSupprimerJoël
Il a indiscutablement une carrière brillante devant lui parce que beaucoup plus talentueux que Andresen, qui à part son 'look' hyper-éphèbe n'était pas vraiment sensationnel.
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