La grande difficulté de ce genre de papotage étant de ne jamais laisser s'égarer ses yeux comme l'a bien compris le copain habillé. Exercice pénible mais essentiel.
Nick : Bien sûr, c'est d'une banalité… Personnellement, je fais ça tous les étés dans les rues de Paris. Seul problème : les commissariats de police dont je ressors en piteux état.
Mais voilà c'est ça le côté Pasolini : le clash des deux mondes. Ceci est une rencontre voulue par Dieux et Destin. Et il y aura des conséquences, c'est clair. Merveilleuses ou horriblement cruelles, seul le génie de PPP en tient la clé.
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La grande difficulté de ce genre de papotage étant de ne jamais laisser s'égarer ses yeux comme l'a bien compris le copain habillé. Exercice pénible mais essentiel.
RépondreSupprimerOui, on peut interpréter cette photo à l'infini.
RépondreSupprimerJ'ai l'impression que le garçon habillé ferme les yeux , ébloui par le garçon nu .
RépondreSupprimerExactement. Une photo pleine de bons souvenirs : j'appliquais la même technique directe pour accoster un passant prometteur.
SupprimerGarçon nu, garçon habillé.
RépondreSupprimerConversation douce pour une liaison privée.
-beau mec
@ "beau mec" : j'adore la modestie du pseudo.
RépondreSupprimerVous pouvez mettre un pseudo dans la case Nom/URL ci-dessous.
Nick : Bien sûr, c'est d'une banalité… Personnellement, je fais ça tous les étés dans les rues de Paris. Seul problème : les commissariats de police dont je ressors en piteux état.
RépondreSupprimerJ'ai cru un instant à une version revisitée - sacrilège - du Théorème de P P Pasolini!
RépondreSupprimerJ'avais le même sentiment. Ne demandez pas pourquoi mais il y a un parfum de Pasolini autour de cette image.
Supprimerjos : il faut chercher beaucoup, alors.
RépondreSupprimerLe beau garçon nu venant de la ville, tente de convertir le garçon des champs à ses pratiques. Alexis de Savoie
RépondreSupprimerMais voilà c'est ça le côté Pasolini : le clash des deux mondes. Ceci est une rencontre voulue par Dieux et Destin. Et il y aura des conséquences, c'est clair. Merveilleuses ou horriblement cruelles, seul le génie de PPP en tient la clé.
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