Si mon esprit était tendancieux (qui le soupçonnerait ?), je serais enclin à interpréter chacune de ces images d'un autre temps dans un sens qui justifierait pleinement leur insertion dans ce journal : je pourrais suspecter quelque arrière-pensée dans le regard oblique que jette l'étudiant sur son coturne. Je pourrais aussi nourrir des soupçons sur la teneur de la conversation entre le jeune garçon et un aîné. Je pourrais enfin imaginer moult scénarios sur le sauvetage du baigneur par son camarade. Loin de moi ces idées : il s'agit de gravures illustrant des pseudo-romans à bas prix relatant la vie à l'Université de Princeton (New Jersey) en 1914. On peut rêver, non ?
Il y avait-il plus d'entraide que de compétition? On peut rêver aussi.
RépondreSupprimerDictionnaire Larousse :
RépondreSupprimercoturne ( sans "h" )
nom (de turne)
Argot. Dans une grande école, étudiant(e) qui partage une chambre avec un(e) autre.
Bien vu, uvdp : avec un h, c'est une chaussure. J'ai rectifié, merci.
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