Guido Giannini Napoli, 1950 |
- Curzio Malaparte - « La peau »
Absolument !
Cela écrit, Malaparte était, parait-il, un fieffé homophobe.
Guido Giannini Napoli, 1950 |
- Curzio Malaparte - « La peau »
Absolument !
Cela écrit, Malaparte était, parait-il, un fieffé homophobe.
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Neapel ist etwas Besonderes.
RépondreSupprimerDie Menschen und ihr Ambiente.
Das Teatro San Carlo ist ein Muss.
(“)
La première photo est chargée symboliquement, ce Golgotha de béton et ces trois
RépondreSupprimergarçons qui contemplent Napoli.
Je ne sais plus quel auteur affirmait que Naples était par excellence la ville
des garçons.La dernière,avec ses publicités de soda US est aussi parlante, disparu l'héritage espagnol de Naples, les alliés sont passés par là...
Je rejoins tellement les propos de Malaparte. Même encore de nos jours, elle est cette ville unique, incompréhensible et si sensuelle, même en hiver.
RépondreSupprimerMerci,
François B
FrançoisB92 : ces propos-là, oui. Mais par ailleurs, hélas…
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