Come è bello seguirti
o giovine che ondeggi
calmo nella città notturna.
Se ti fermi in un angolo, lontano
io restero', lontano
dalla tua pace, - o ardente
solitudine mia.
Qu'il est beau de te suivre
ô jeune homme qui ondoies
sans hâte dans la ville nocturne.
Si tu t'arrêtes au coin d'une rue,
je resterai, loin
de ta paix - ô mon ardente solitude.
Sandro Penna
In Une ardente solitude
Photo Winter Vandenbrink
Comme il est beau ce poème! Je ne parle pas italien mais j'imagine ses tonalités chantantes, plus belles qu'en français.
RépondreSupprimerContinuez de nous charmer avec de courtes poésies italiennes Silvano, Merci.
C'est du temps de recherche, mais je vais m'y atteler.
SupprimerOui , au moins un poème par semaine !
RépondreSupprimerOui, chef !
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