En 1983, deux événements : Yannick Noah remporte Roland Garros et Glenn Gould arrive en tête des ventes de musique dite "classique" (du "baroque" en l'occurrence) avec les Variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach, l'un des premiers Compact Disc.
Depuis, peu de pianistes se sont risqués à reprendre cette somme : en 2000, Murray Perahia la fait sienne et c'est une réussite à laquelle je préfère, pour ma part, ses Partitas magistrales. Il y a quelques mois, le (trop) médiatique Lang Lang en donne une interprétation qu'il faudra réécouter. Elle est très honorable. Enfin, tout près de nous, le phénomène Yunchan Lim nous livre sa version, magnifique, enregistrée le 25 avril dernier au Carnegie Hall. Prenez une heure de votre précieux temps et écoutez ci-dessous l'intégrale : c'est parfait, le matin, pour écrire, lire ou tout simplement méditer.
mardi 20 mai 2025
Yunchan honore Jean-Sébastien au Carnegie Hall
6 commentaires:
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires ronchons ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
très belle interprétation d'une grande finesse d'exécution des ornementations dans l'esprit baroque exceptionnelle au piano
RépondreSupprimerLudovic
Oui, Ludovic, c'est exactement mon ressenti.
SupprimerMon classik préféré
RépondreSupprimerOn ne peut pas dire que le décors détourne l'attention du public! C'est glacial!
RépondreSupprimerEnfin, l’œuvre est évidemment très belle et bien interprétée, avec sobriété.
Oui, il est vrai que Carnegie Hall, c'est surfait. :)
Supprimerdommage de ne pas trouver un CD de ce trésor.
RépondreSupprimer