J'étais ce soir-là face à l'écran sur lequel je me projetais, une nouvelle fois, La ballade sauvage de Terrence Malick. La succession incessante, inhabituelle, des sirènes de police, des pompiers et du Samu, m'a fait interrompre le film. J'ai d'abord cherché en vain une information sur les chaînes "officielles" avant de me diriger vers le "tout-info" où je découvris, par bribes, de prime abord, puis en détails de plus en plus précis, l'horreur qui venait de se produire.
Comme, sans doute, la plupart d'entre nous, je demeurai pétrifié et passai l'une des plus mauvaises nuits de mon existence. Il est des concitoyens pour lesquels les commémorations sont utiles. Pour moi, chaque année, la date du 13 novembre vient sinistrement me rappeler cette nuit-là.
Comme, sans doute, la plupart d'entre nous, je demeurai pétrifié et passai l'une des plus mauvaises nuits de mon existence. Il est des concitoyens pour lesquels les commémorations sont utiles. Pour moi, chaque année, la date du 13 novembre vient sinistrement me rappeler cette nuit-là.
C'est exact, cette nuit là, les chaines traditionnelles ne donnaient aucune information et continuait la diffusion de leurs programmes comme si de rien n'était.
RépondreSupprimerDéjà dix ans et c'est encore si présent dans les mémoires. Je vivais encore en Belgique à l'époque et je me souviens de l'impact que cela a eu sur beaucoup de gens là-bas aussi. Je t'embrasserai toujours, Silvano, mais tu en auras une spéciale pour cette commémoration.
RépondreSupprimerMerci Brad, fidèle lecteur depuis tant d'années. Des bises !
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