Malgré l’impressionnante magnificence du film « Mort à Venise », mon plus vif et profond ressenti sera toujours pour « La mort à Venise », la nouvelle de Thomas Mann – auteur dont je suis particulièrement fervent. Autant le spectateur de cinéma est passif, autant le lecteur est actif, devant sortir le sens des mots du cours inexorable des phrases, qui se font distantes ou pressantes, envoûtantes ou menaçantes, dans un tissage émotionnel se resserrant comme une nasse, dirigeant notre esprit dans le piège du labyrinthe littéraire où l’auteur nous a amené, bon gré mal gré, pour nous révéler au cœur, non pas son secret, mais ce qui n’en est pas un : notre propre illumination au monde.
Merci d'avoir communiqué ce documentaire d'une belle qualité ; c'est très émouvant de voir Tadzio 20 ans après dans l'épanouissement de l'âge, d'une beauté qui rayonne la beauté intérieure personnelle, comme il le dit lui-même, et comme elle se voit à cet âge beaucoup plus qu'en sa jeunesse et à l'époque du film. Elie Hazard
Très heureux suis-je de rencontrer, via cette vidéo, Bjorn Andresen à 35 ans. Quel bel homme, sympathique à souhait et si vrai. Dans son long manteau d'hiver, n'est-il pas aussi beau que le jeune Tadzio dans son blazer marine, scrutant Ashenbach? J'aurais aimé en voir davantage. Merci mille fois!
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Malgré l’impressionnante magnificence du film « Mort à Venise », mon plus vif et profond ressenti sera toujours pour « La mort à Venise », la nouvelle de Thomas Mann – auteur dont je suis particulièrement fervent. Autant le spectateur de cinéma est passif, autant le lecteur est actif, devant sortir le sens des mots du cours inexorable des phrases, qui se font distantes ou pressantes, envoûtantes ou menaçantes, dans un tissage émotionnel se resserrant comme une nasse, dirigeant notre esprit dans le piège du labyrinthe littéraire où l’auteur nous a amené, bon gré mal gré, pour nous révéler au cœur, non pas son secret, mais ce qui n’en est pas un : notre propre illumination au monde.
RépondreSupprimerMerci pour ces belles pioches !
RépondreSupprimerIl y a, tout de même, un "What !!??!!" assez admirable en réaction à "il enlève son pull..."
Ahh, l'heureux Luchino
Merci d'avoir communiqué ce documentaire d'une belle qualité ; c'est très émouvant de voir Tadzio 20 ans après dans l'épanouissement de l'âge, d'une beauté qui rayonne la beauté intérieure personnelle, comme il le dit lui-même, et comme elle se voit à cet âge beaucoup plus qu'en sa jeunesse et à l'époque du film.
RépondreSupprimerElie Hazard
MERCI:_)))
RépondreSupprimer@Pierre : votre commentaire se passe... de commentaire.
RépondreSupprimerEt merci pour vos mercis !
RépondreSupprimerTrès heureux suis-je de rencontrer, via cette vidéo, Bjorn Andresen à 35 ans. Quel bel homme, sympathique à souhait et si vrai. Dans son long manteau d'hiver, n'est-il pas aussi beau que le jeune Tadzio dans son blazer marine, scrutant Ashenbach? J'aurais aimé en voir davantage. Merci mille fois!
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