Glanée sur la toile, l'image brute, sans la moindre référence.
C'est un polaroid, un instantané qui n'a jamais autant signifié qu'avec ce mode de prise de vues. La beauté fragile, éphémère, de ce garçon que j'appelle Filippo parce qu'il me rappelle celui que j'aimai et qui m'aima, se fige en une fraction de secondes, finit dans une boîte à biscuits, attend une improbable renaissance. Ce pourrait être toi, c'est toi, oui, que jamais je n'oublierai.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires ronchons ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !