Glanée sur la toile, l'image brute, sans la moindre référence.
C'est un polaroid, un instantané qui n'a jamais autant signifié qu'avec ce mode de prise de vues. La beauté fragile, éphémère, de ce garçon que j'appelle Filippo parce qu'il me rappelle celui que j'aimai et qui m'aima, se fige en une fraction de secondes, finit dans une boîte à biscuits, attend une improbable renaissance. Ce pourrait être toi, c'est toi, oui, que jamais je n'oublierai.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire