Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
samedi 31 décembre 2011
vendredi 30 décembre 2011
Dans la légende : le Studio 54
La foule des noctambules dans le club mythique, et, ci-dessous, l'une des personnalités que l'on pouvait y croiser :
Un Ryan Philippe affriolant dans le film "Studio 54" - 1998
Dans les années 70, le Studio 54 de New-York attirait chaque soir une foule de célébrités et de clubbers anonymes ; c'est du prestigieux club new-yorkais que s'inspira Fabrice Emaer pour créer Le Palace à Paris.
Temple des sexualités désinhibées où circulaient toutes les drogues, lieu décadent unique en son siècle, le Studio 54 reste un symbole de la frénésie des 70's à laquelle le SIDA allait mettre un coup d'arrêt définitif au début de la décennie suivante.
Le Studio 54 fut fermé par les autorités pour une grave affaire de fraude fiscale en 1979.
Après rachat, il ne réussit pas à retrouver le faste d'antan et ferma à jamais ses portes en 1986.
En 1998, un film réalisé par Mark Christopher avec le beau Ryan Philippe, Salma Hayek et Mike Myers rendait hommage à ce temple de la musique "disco" (DVD Tf1 Vidéo).
A travers images d'époque et photographies, le document ci-dessous donne une idée de ce que fut ce lieu "excessif" dédié à la fête.
jeudi 29 décembre 2011
Préparer la Saint Sylvestre
Dès demain matin aux aurores,
je me mets en cuisine
pour préparer 3 jours
d'agapes :
je me mets en cuisine
pour préparer 3 jours
d'agapes :
"Bon, alors, tu arrives ?"
Confort automobile
Il paraît
qu'en France,
de plus en plus de gens
dorment dans leur voiture.
Un nouveau marché pour les
vautours ?
La voiture est une Twingo...
mercredi 28 décembre 2011
mardi 27 décembre 2011
Les désarrois de l'élève Törless
L'histoire :
Un village à l'époque de la monarchie austro-hongroise. Jeune homme sensible et réservé, Törless devient pensionnaire dans un collège pour fils de la noblesse. Il se lie d'amitié avec Beineberg et Reiting, deux adolescents au caractère tyrannique. A ses heures de sortie, il rend visite à Bozena, une prostituée qui apprécie les jeux pervers.
Un jour, Basini, l'un de ses camarades de classe, dérobe de l'argent appartenant à Beineberg. Découvert, le jeune voleur passe en jugement devant ses camarades. Reiting lui propose alors un curieux marché : leur silence auprès des autorités enseignantes contre sa soumission totale. Basini accepte de devenir leur esclave.
Témoin intéressé par le comportement de cette " victime " consentante, Törless devient, sans s'en rendre compte, complice de ses tortionnaires. Les deux "tyrans" raffinent leurs tortures allant jusqu'à pendre Basini par les pieds devant la classe entière. Lié par sa complicité tacite, Törless est dans l'impossibilité d'intervenir. L'arrivée de professeurs sauve Basini du lynchage. Effrayé par la férocité de ses camarades, Törless choisit de fuir, puis il revient.
Un conseil de professeurs se réunit pour élucider les événements. Beineberg et Reiting parviennent à minimiser leur rôle néfaste tandis que Törless essaie en vain d'expliquer les raisons de sa complicité. Jugé trop vulnérable, il est rendu à sa famille.
(Fiche "Monsieur Cinéma")
C'est en 1966 que sort ce beau film triste adapté du roman de Robert Musil.
A la réalisation, Volker Schlöndorff, qui cueillera une Palme d'Or à Cannes en 79 avec "Le tambour".
Cruauté, perversité adolescente dans un monde en déliquescence, sont la marque d'un film sans concession hanté par l'apparition de l'alors tout jeune Matthieu Carrière qui crève l'écran et suffit à "porter" les film vers les sommets.
Il faut rendre hommage aussi à Marian Seidoski en Basini persécuté et, bien sûr, à l'adaptation signée Herbert Asmodi qui permet à Schlöndorff de recréer l'atmosphère oppressante du roman de Musil.
Le film "lance" donc le beau Matthieu Carrière qui ne cessera de tourner ensuite, en France et surtout en Allemagne où il poursuit sa... carrière (sorry !) (filmographie ici : clic).
Un chapeau de paille d'Italie
C'est le titre d'un vaudeville d'Eugène Labiche.
On pourra préférer la vision ci-dessus.
Si, au cours de pérégrinations en péninsule, on doit se trouver face à une telle apparition, je ne donne pas cher de notre présence d'esprit !
La photo est "rebloguée" : on aimerait en connaître l'auteur ; quant au modèle, on n'oserait l’espérer.
lundi 26 décembre 2011
Débardeurs en noir et blanc
Photo 1 : Kwannam Chu
Photo 2 : modèle : Baptiste Radufe (photographe ?)
Photo 3 : X
Photo 4 : Leon Mark
dimanche 25 décembre 2011
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