Un beau film solaire, âpre et elliptique. (Télérama)
Le cinéaste marocain Abdellah Taïa décrit une jeunesse perdue, vidée de tout affect, fataliste.
Des adultes un peu terrifiants aussi, qui aiment abuser du corps des jeunes gens, homme ou femme, sans y voir aucun problème. Et des étrangers égoïstes, honteux de leur sexualité...









