Le journal quotidien - non hétérophobe - de Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007. Photo en-tête Mina Nakamura "La gravité est le plaisir des sots"
Le jeune Hippolyte Pérès ne se consacre pas uniquement à sa formidable chronique du vendredi sur France Musique. Il a aussi réalisé ce beau film de 25 minutes autour d'un très beau projet. Le film Ali.ceretrace la création d’un spectacle de danse dans trois pays : La France, le Maroc et le Royaume-Uni. Ces ateliers proposés par l’association What Dance Can Do offrent des moments de beauté et de grâce à des enfants et adolescents qui évoluent dans des contextes socio-économiques difficiles.
Réalisation : Hippolyte Pérès
L'équipe What Dance Can Do : Aurélia Sellier, Dorothée Blacher, Ludivine Louboutin, Tuli Litvak
En 2023, le jeune portugais António Casalinho était l'un des invités du prestigieux Prix de Lausanne dont il fut l'heureux lauréat deux ans auparavant. Il y offrait le solo de Grinding the Teeth de Goyo Montero,
musique d'Owen Belton
Les plus âgés d'entre nous ont certainement dansé sur cette chanson au Palace et au Queen (Paris), au Voom Voom de Juan-les-Pins, voire au Studio 54 de New-York, le club qui symbolise à lui seul l'ambiance de la période ! Quel que soit votre âge, je vous recommande l'excellent document en trois parties d'Arte, intitulé Disco - La bande-son du renouveau. Le phénomène "disco" a enflammé les pistes de danse de la planète au cours des années 70, jusqu'à l'apparition du fléau nommé SIDA. À cette époque, ce sont les gays et les noirs qui donnaient le ton. Les films d'Arte ne sont pas seulement un rappel de ce style musical. Ils mettent aussi en relief le contexte : une ère d'insouciance, de liberté pointant le bout de son nez (fin de la guerre du Vietnam. premières "gay pride"). Cette musique a connu, bien sûr, le pire et le meilleur. Les trois films n'en occultent rien, de l'apogée au déclin. Toujours est-il que nombre des tubes de l'époque font toujours le plein sur les dance-floor. Disco - La bande-son du renouveau se regarde et s'écoute ici : clic
Le jeune Hippolyte Pérès a tourné cette courte vidéo pour Le Refuge. Témoignages à l'appui, tout est dit en peu de temps, et bien dit. En outre, Hippolyte intervient tous les vendredis à midi sur France Musique pour nous faire entrer "au cœur du ballet". Écouter en podcast ici : clic Doué, ce garçon !
Réalisation Fabio Grossi, vidéo tournée au Palazzo Brancaccio à Rome. Danseurs : Gianluca Conversano et Alessandro Carradori. Chorégraphie : Luca Di Nicolantonio. Chanson écrite et interprétée par Roberto Casalino
Tamara Karsavina et Vaslav Nijinsky, des Ballets Russes de Serge de Diaghilev, dans Le spectre de la rose à Monte Carlo en 1911.
Rare photo E.O.Hoppe.
Le ballet, inspiré par l'oeuvre éponyme de Théophile Gautier fut chorégraphié par Michel Fokine.
La photo ci-dessous est beaucoup plus connue.