Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
Photo en-tête Mina Nakamura

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


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dimanche 30 août 2020

L'ange et le titan


Rémi Geniet a fait sensation le 21 août dernier au Festival de La Roque d'Anthéron en interprétant les fameuses et périlleuses Variations Diabelli de Beethoven, l'une des dernières œuvres de l'immense compositeur.
Prenez votre temps, écoutez dans de bonnes conditions, ça vaut le coup !

dimanche 23 août 2020

Ludwig : 250 ans, et pas une ride !



De cette Sonate Le printemps pour violon et piano, c'est mon interprétation favorite, dont je possède le disque vinyle chez DG.
Deux musiciens majeurs du vingtième siècle pour l'un des multiples chefs-d'oeuvre du génie de Bonn.

mercredi 8 janvier 2020

Cadeau : un p'tit Ludwig pour la route ?



Extrait de la célèbre série de "bis" ("encore", pour les anglo-saxons qui empruntent au français, ça arrive !) d'Evgeny Kissin aux Prom's de Londres 1997.
Ce Rondo a Capriccio, dit Rage over the lost penny de Beethoven est l'un des morceaux de bravoure (c'est vraiment le cas) du grand pianiste russe.
Si vous voulez voir ou revoir cette mémorable succession de bis de 50 minutes, allez voir ici : clic

dimanche 5 janvier 2020

Cadeau : du tonus pour la journée

C'était le tube beethovénien de mon adolescence : je l'avais entendu en concert par Weissenberg ou peut-être bien par Eschenbach qui fut pianiste concertiste avant de prendre baguette.
Le Rondo du 3ème Concerto de Beethoven me filait la pêche pour la journée. L'ayant mis sur le tourne-disque avant de partir, je renâclais moins à rejoindre le lycée où m'attendaient les matières qui m'étaient rébarbatives, maths, physique-chimie et autres pensums infligés au "littéraire" que je suis.
Il m'arrive encore souvent, aujourd'hui, d'inscrire ce concerto à mon programme d'écoute dominical. J'ai tendance à pousser déraisonnablement le volume pour la bonne cause : faire entrer des rayons de soleil dans un dimanche trop souvent grisâtre.
Ici, le soliste est Jan Lisiecki qui en donne, avec l'Academy of St. Martin in the Fields dirigée par Tomo Keller, une version conforme au souvenir de mes enthousiasmes juvéniles.
Comme le fait justement remarquer un commentateur, on notera le sourire de ravissement que fait naître, chez le jeune pianiste, l'entrée de la clarinette (à 3'25). Le petit dialogue qui s'ensuit participe au plaisir d'ensemble.

jeudi 2 janvier 2020

Ludwigmania

La tombe, cimetière central de Vienne, Autriche

2020 est l'année du 250è anniversaire de la naissance de Ludwig van Beethoven,
vénéré entre tous par l'auteur de ces lignes.
Le terme "génie", aujourd'hui galvaudé, trouve avec lui sa véritable signification : le musicien sourd a marqué pour toujours la mémoire des hommes de par ses dons exceptionnels et, sous l'aspect bourru qui nous fut transmis par les gravures et autres bustes, son profond humanisme.
Beethoven demeure résolument moderne.
Gloire à lui.