Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
jeudi 31 décembre 2009
mercredi 30 décembre 2009
mardi 29 décembre 2009
Le "mystère" Tchaïkovski
Rien n'est moins sûr : le musicien russe avait, tout au long de sa vie, dû combattre son penchant pour les jeunes hommes.
Ainsi, torturé par ses inclinations, il crut pouvoir "se guérir" de son homosexualité en épousant l'une de ses anciennes élèves, Antonia Milioukova.
Ce mariage se solda évidemment par un échec et ne fut pas "consommé", la pauvre Madame Tchaïkovski devant finir ses jours dans un asile d'aliénés !
La scène de Music Lovers, le film de Ken Russel où Glenda Jackson offre son sexe en pâture aux déments agglutinés au-dessous d'une grille où elle s'est assise, est encore dans la mémoire de ceux qui eurent la chance de voir cette œuvre totalement déjantée, laquelle, en 1970, ne cachait rien des mœurs de l'illustre musicien, interprété par Richard Chamberlain (tiens, tiens !)...
Richard Chamberlain dans le film de Ken Russel
On aurait même avancé -c'est tellement romantique !- que le musicien se serait suicidé sur injonction d'un tribunal d'honneur constitué d'étudiants ayant découvert sa liaison avec un jeune noble, mineur.
Les historiens n'accordent guère de crédit à cette thèse, tant le créateur russe était un chrétien fervent.
On peut cependant fantasmer à loisir sur cette mort pour le moins surprenante.
Et écouter à n'en plus finir les pages musicales exceptionnelles laissées par le grand homme.
Music Lovers n'est pas sorti en DVD, hélas !
On trouve encore, ça et là sur les sites marchands, une VHS qu'on ne recommandera pas.
Souhaitons qu'un éditeur sorte de l'oubli ce film flamboyant qui mériterait bien une édition en Blu Ray.
Pour se consoler, on se précipitera en salle pour rire et s'émouvoir avec le film "Le Concert" de Radu Mihaileanu : le "Concerto N°1 pour violon et orchestre" en est l'une des stars !
Discographie : elle est pléthorique ; outre les "tubes" (Concerto N°1 pour piano et orch., "Casse noisettes", "Le lac des cygnes", "Symphonie Pathétique", "Roméo et Juliette"...) on découvrira avec plaisir les œuvres pour piano seul, la musique de chambre et les opéras (dont le somptueux "Eugène Onéguine" ou "La dame de pique").
Ici, Evgueni Kissin, alors enfant prodige, joue sous la direction d'Herbert Von Karajan ; pas moins !
lundi 28 décembre 2009
Web exhibitions
De lien en lien on atterrit souvent sur des sites de "teens" proclamant que les modèles ont 18 ans et plus.
Certaines photos semblent démentir ces "bonnes intentions" et posent la question de la frontière entre homosexualité, pédérastie et pédophilie.
La grande "tendance", sur ces blogs pornos, est à la diffusion d'images de jeunes hommes se masturbant devant une webcam.
On est sidéré du nombre de garçons se livrant à ce genre d'exercice.
Si ces images sont amusantes, voire excitantes, lorsqu'on les découvre en novice, elles finissent pas générer un ennui certain tant, finalement, elles confirment que la chair est triste, souvent.
L'érotisme est toujours dans la suggestion.
Heureusement.
Cette vieille photo, par exemple, permet à l'imagination de vagabonder à son aise :
samedi 26 décembre 2009
jeudi 24 décembre 2009
mercredi 23 décembre 2009
mardi 22 décembre 2009
Révélateur ?!
Le fait d'avoir dévoré, à 10 ans, les bandes dessinées "petit format" dont le héros était Blek le Roc, créature musclée à la chevelure blonde et aux pantalons moulants serait-il révélateur d'une orientation sexuelle future ?
On peut se poser la question...
lundi 21 décembre 2009
dimanche 20 décembre 2009
samedi 19 décembre 2009
"Le plus beau garçon..."
Avec Madeleine Sologne dans "L'éternel retour" : tous les jeunes français voulaient porter le même pull jacquard que le beau Jeannot !
Dans les années 40/50, l'acteur Jean Marais (1913-1998), l'Ami de Jean Cocteau avec lequel il forma un couple mythique, fut, malgré ce "mariage" notoire, le garçon le plus idolâtré du cinéma et du théâtre français.
Cocteau ferma pudiquement les yeux sur ses multiples liaisons masculines pendant que, naïves, des jeunes filles énamourées faisaient le siège de son appartement parisien.
Dans sa très complète biographie de Jean Cocteau, chez Gallimard éd., Claude Arnaud le décrit comme "le plus beau garçon du cinéma français".
Difficile de le contredire.
vendredi 18 décembre 2009
jeudi 17 décembre 2009
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