Je note le retour des chaussettes blanches aux pieds des jeunes gens modernes ; en mode "tennis" de surcroît, que l'on croyait reléguées dans le grenier des accessoires définitivement ringards.
Dans les années 80 et un peu au delà, Michael Jackson en fit une image de marque imitée par la grande foule de ses adeptes avant de subir les foudres des "tendanceurs" (ah, la novlangue !).
Personnellement, j'absous tous les jeunes gens dotés d'un charmant cou-de-pied, auxquels je délivre habilitation à enfiler ces choses que l'on gardera, nous autres, pour accompagner les costumes blancs de l'été.
À peu de choses près, ce pourrait être mon balcon parisien, où l'on peut prendre un verre à deux (mais pas plus) quand reviennent les beaux jours.
J'y inviterais volontiers ce garçon un peu chiffonné d'on ne sait quels excès, mais qui, privilège de la jeunesse, n'en reste pas moins tout à fait désirable.
J'ai cessé de
fumer.
Il a fallu l'hypnose pour
vaincre cette addiction qui
mangeait ma vie.
C'est une délivrance.
Fier de moi.
Bientôt
Noël.
Dépêchons-nous
de faire nos emplettes,
comme ces citoyens américains
avisés, qui savent que tout se paie
plus cher à l'approche de la date fatidique.
Dans la première décennie de ce siècle, et un peu au-delà,
Jean-Philippe Guillemain photographiait des anges, dont certains faisaient partie des jeunes espoirs de l'Opéra de Paris.
Le plus souvent, les photos étaient très "nature", sans effets prétendument artistiques, les modèles n'étaient pas outrageusement maquillés, les retouches étaient réduites au nécessaire.
Le photographe a tourné cette page de son existence. Ses clichés, jamais "clichés", demeurent.
Ah oui,
le 17 novembre dernier,
ce blog
a eu 10 ans ; ce qui m'a totalement échappé.