Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
Photo en-tête Mina Nakamura

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


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lundi 3 novembre 2025

À Rome, on revient toujours.

Je publiai ce billet en décembre 2007. C'est mon hommage d'hier à Pier Paolo qui me l'a fait redécouvrir.
Je suis revenu maintes fois à Rome depuis.

Adoration de la vierge (détail).

Il y a la Rome chrétienne, celle du Vatican et de la chapelle Sixtine, des mille églises recelant des chefs-d'œuvre d'art sacré, des nonnes croisées par troupeaux entiers au hasard des pérégrinations...
Et puis il y a la Rome des Césars, de Néron, de Trajan, de Tibère et d'Hadrien, celle que je suis allé découvrir cette fois.
Il n'y a plus, Piazza Navona, ces garçons à louer légendaires dont les vieux touristes en follitude nous parlaient autrefois en rosissant de plaisir.
Maintenant, la rue Saint Jean de Latran se veut artère gay, un "Marais" aux dimensions réduites improvisé à la hâte après l'affaire du "baiser romain" qui défraya la chronique il y a quelques mois.
Notre petit bagage culturel en tête, nous chercherons en vain les "ragazzi" de Pier Paolo Pasolini, même si des ados crasseux, louches, sans doute originaires de l'est de l'Europe, nous ont longuement observés quand nous traversions, pressés, la "Stazione Termini", celle, précisément d'où partit le poète-cinéaste pour son dernier voyage.
On s'est pris un instant pour P.P.P., un frisson rétrospectif nous parcourant l'échine.
On a pris en photo le petit chasseur magnifique d'un palace, "pour son bel uniforme" lui a-t-on dit en ruse.
On ne publiera pas la photo, parce que, cinq minutes, on a aimé ce garçon, son regard franc, sa force fragile, sa gentillesse et qu'on ne saurait le jeter dans la toile comme le premier modèle venu.
À Rome, on revient toujours.

dimanche 14 septembre 2025

Turin : la bonne chère pas chère

   La cuisine piémontaise nous offre des spécialités que l'on peut savourer dans les multiples trattorie, ristorante et autres pizzerie qui jalonnent le parcours dans le centre historique ou dans les faubourgs. Si la simplicité en est apparente, elle nécessite un savoir-faire et un choix des meilleurs produits locaux.
J'ai déjà vanté ici les qualités gustatives du vitello tonnato que l'on trouve désormais à la carte de quelques restaurants parisiens. La farinata, elle, est une recette à base de farine de pois chiches, cousine de la fameuse socca niçoise : rien d'étonnant quand on connaît la proximité historique de Nice avec la Savoie et le Piémont. 
Et puis, il y a les agnolotti ! Ceux-ci, de forme typique, sont excellentissimes :



Cette recette d'agnolotti del plin est originaire du Piémont, souvent servie lors des grandes occasions. Ces petites pâtes sont farcies d'un mélange de bœuf et de chou, puis servies dans une sauce au fromage et au beurre ou dans un reste de jus de cuisson. Celles que j'ai dégustées nageaient avec élégance dans le jus du "rôti du dimanche".


La farinata, soeur de la socca, l'épaisseur en plus.
Le vitello tonnato : évident !

J'ai boulotté une part de farinata bien poivrée dans une petite cantine de la Via delle rosine, spécialisée aussi dans la pizza romana al taglio : ce sont des parts de pizza à la romaine, c'est-à-dire plus épaisse et croustillante que la pizza napolitaine, fine, telle qu'on la mange dans la plupart des pizzerie. À Rome, chez "Est est est", l'une de mes adresses favorites, elle est servie dans un caquelon en fer. La meilleure pizza romaine "à la part",selon moi, se trouve non loin du Vatican.
À Turin, une foule de garnitures dans ce lieu simplissime, c'est délicieux. Les 5 km de marche d'après pranzo (déjeuner) me furent salutaires.

Pizza romana "al taglio". Bonne adresse aussi, piazza Castello


mercredi 10 septembre 2025

Blogue bloqué


 Ce ne sont pas les exhortations aux blocages qui m’y contraignent, mais, étant rentré tardivement, hier soir, je n’ai pu m’atteler à ma tâche quotidienne. Je reviens conter, demain, mon séjour "torinese". Comme vous pouvez déjà le constater, je n’ai pas été en manque de Po.

jeudi 4 septembre 2025

Escapade musicale

J'y serai cet après-midi.
J'ai préféré le train, un TGV totalement inouï de la SNCF.
Le voyage dure cinq heures et demie, tel qu'annoncé.
C'est mon troisième séjour à Torino|Turin.
C'est dire combien j'apprécie cette ville.

mardi 26 août 2025

La Bretagne, ça me gagne !

 Mon hôte me répète que, chez lui, il fait beau trois fois par jour !
J'ai été bien content de fuir la canicule parisienne, qui était encore présente lors de mon départ.

Trois fois par jour, et plus : vendredi dernier. Ma photographie. 

dimanche 3 août 2025

Quatre jours de rêve en Provence (3) : Cezanne au Musée Granet

 Mon correcteur virtuel ne sait pas encore que le nom du peintre a été débarrassé d'un accent aigu pour lui rendre sa véritable identité.

Prêté par le musée d'Orsay | Que pouvais-je choisir de mieux ?

Je ne pouvais passer par Aix-en-Provence et ignorer la très belle exposition du musée Granet, Cezanne au mas de Jouan.
L'événement attire actuellement une foule de visiteurs, heureusement répartis par tranches horaires tout au long de la journée, ce qui permet une visite relativement tranquille, à cent lieues des magmas humains constatés, par exemple, au Louvre devant la Joconde de ce cher Leonardo.
Les œuvres de Cezanne, dont beaucoup de raretés, dans le cadre du mas où il avait installé son atelier, font l'objet d'une vraie somme, prêtées, pour la plupart, par des musées internationaux ou des collectionneurs privés. L'expo est judicieusement organisée, permettant, grâce à la chronologie, de suivre l'évolution du style du maître.
Si vous êtes dans le coin, réservez : passez directement à l'Office du Tourisme, Place de la Rotonde, et non par le site du musée.
Quoi qu'il en soit, c'est inratable !

samedi 2 août 2025

Quatre jours de rêve en Provence (2) : Schubert servi admirablement

La Provence
Le journal régional exprime pleinement mon ressenti.
Il s'avère que j'avais une raison bien particulière d'assister à la prestation du Geister Duo, auquel je fis la surprise d'une visite en loges avant le concert du soir.
Reconnu à présent internationalement, ce "couple musical" se consacre entièrement au piano à quatre mains ou à des prestations à deux pianos.
Ils viennent d'enregistrer l'intégrale des "quatre mains" de Schubert, qu'ils ont donnée, en trois concerts-marathon à La Roque d'Anthéron.
Le concert du soir, pour lequel ils étaient dans une forme éblouissante, a suscité un réel engouement du public du plus grand espace, dans le parc du Château de Florans : un triomphe couronnait cette suite de concerts. En bis, la célèbre Marche Militaire et la Fantaisie en fa mineur laissaient le public au comble du bonheur.
Heureux et fier, étais-je.
Anecdote surprenante, un jeune lecteur (jeune, je suppose, car il écrivait, hier, "avec mes parents") qui signe César ses commentaires, assistait au concert du soir !
J'ai également eu la surprise de voir débouler à ma table (il y a maintenant un espace collations) une famille dont les deux enfants sont à l'école de musique du 18ᵉ arrondissement. 
Il est de bienfaisantes coïncidences.

Premier concert, à 11 heures du matin. Manuel Vieillard et David Salmon.

Le coffret (6 disques) Schubert : une merveille !
Un tube en guise d'échantillon :

vendredi 1 août 2025

Quatre jours de rêve en Provence | (1) Sasha et moi

De gauche à droite, un peu de moi et Alexander Malofeev.
Je garde pour moi la photo non amputée de mon auguste visage.

Je l'avais croisé Salle Gaveau lors de son dernier récital. Parmi ses convives d'après représentation, une maman d'élève. Je m'étais contenté d'un bravo et d'un merci.
Dimanche dernier, à l'issue du concert, grâce à René Martin, directeur du Festival International de Piano de La Roque d'Anthéron, nous avons pu discuter un bref moment, moi baragouinant en anglais de cuisine et en italien (?) mêlées (*), nous avons pu faire cette photo sur laquelle le jeune Malofeev apparaît souriant, quand, à Gaveau, je l'avais trouvé morose.
Le pianiste s'était auparavant produit dans un Concerto, le cinquième, dit "de l'empereur", de Beethoven, œuvre "tubesque" qu'il interpréta avec une déconcertante facilité, malgré un orchestre régional plutôt à la peine. Malgré cet inconvénient, le jeune homme fit preuve, sur la très belle scène du festival, d'une touchante humilité, souriant, indulgent, avec l'envie, très visible, de pallier une direction quelque peu faiblarde. Deux œuvres de Glinka en bis, avant l'entracte.
Pour être juste, la 3ᵉ Symphonie, Héroïque, de Beethoven, certainement répétée un grand nombre de fois, concluait très correctement le concert.  

Photos O.M pour Gay Cultes
Photo Festival de La Roque d'Anthéron
Ce soir, 1ᵉʳ août, Malofeev est au Festival de Verbier (Suisse) où il sera au cœur du Sextuor pour piano et cordes en mi bémol de son compatriote Glinka (1804-1857).
Il sera entouré, excusez du peu, de Randall Goosby (violon), Paloma So (violon), Maté Szücs (alto), Edgar Moreau (violoncelle) et Brendan Kane (contrebasse).
Si vous n'avez pu l'entendre, il vous reste Édimbourg, Salzbourg, Aspen (USA), Amsterdam et deux concerts à Séoul (Corée). Ce sera tout pour le mois d'août. Bons voyages aux groupies.

  • (*)  Malgré mon correcteur virtuel, je persiste à penser que l'italien et l'anglais sont des langues.
    Je laisse un peu d'espace vierge au cas où vous souhaiteriez prendre des notes :

lundi 16 juin 2025

Pasolini, "l'ultima cena" *



Lors d'un séjour à Rome, je m'étais fait un devoir de faire un pèlerinage pasolinien qui me conduisit jusqu'à cette trattoria dans laquelle dîna le poète et cinéaste. Pasolini se rendit ensuite dans le quartier de Termini où il leva un "ragazzo di vità", Giuseppe (Pino) Pelosi. On sait ce qu'il advint ensuite : l'assassinat de Pasolini à Ostie dans la nuit du 1ᵉʳ au 2 novembre 1975.
Apprenant cette tragédie, l'aubergiste décida de ne pas encaisser le chèque de Pasolini et de l'encadrer en guise d'hommage à son fidèle client.
Le cadre contenant la "relique" figure toujours en bonne place dans ce restaurant qui propose une authentique cuisine romaine des plus savoureuses.


Pommidoro est situé 
Piazza Dei Sanniti 44/46
,
dans le quartier de San Lorenzo, fréquenté
par la jeunesse étudiante : les prix sont beaucoup
plus abordables que dans le centre historique.

 * Le dernier dîner.

Nota bene
C'est pour moi douloureux, mais il est raisonnable d'attendre janvier 2026 pour se rendre à Rome. Nous sommes en plein "jubilé", qui attire une foule de visiteurs qui accroit d'importance l'affluence dans la Ville Éternelle.

lundi 9 juin 2025

Garcia Marquez, Sergio Leone, Mohamed Ali, Bob De Niro : excusez du peu !


Dans ce restaurant romain du Trastevere,
où je fis un repas mémorable,
je fus aimanté par cette photo de 1982.  Il y en a beaucoup,
mais ces visiteurs en font une photo historique.

samedi 7 juin 2025

Ze plèce toubi (Al lec'h da vezañ)

Je demandais, mardi dernier et sans grand succès, qui connaissait ce beau lieu.
Il s'agit de la Villa Margaret à Larmor Plage (56).
Cet établissement, où l'on vient prendre une collation (huîtres, le dimanche, en saison) dans le jardin ou dans les salons joliment décorés, est un lieu de rendez-vous idéal. De plus, on est à mille lieues des prix pratiqués sur la Côte d'Azur.
La villa surplombe le joli petit port de Kernevel :

Photo Corinne Ouvray

Bon, parce que c'est vous :
En saison, de gentils serveurs

mardi 3 juin 2025

Morbihan

Qui connaît ?

 Non loin de Lorient, c'est le lieu idéal pour un apéritif entre amis. J'apprécie la vue sur la mer et les bateaux. Ici, le pâté Hénaff (cent pour cent breton) a un tout autre goût que consommé à Paris. Il est servi par un délicieux pain bûcheron -  Le pain bûcheron se distingue des autres typologies de pain par sa croûte rustique particulièrement croustillante. Il s'agit d'un gros pain de campagne à la mie foncée, souple et alvéolée, auquel on ajoute généralement des céréales.

Libre de toute publicité


lundi 12 mai 2025

San Giminiano




C'est l'un des sites à apprécier quand on parcourt la Toscane.
Hors saison, bien sûr.
Pour plaire à un étudiant fauché — un peu pingre, aussi —, j'y dénichai un restaurant à menu touristique où je fis l'un des pires repas de ma vie. Quand on sait les vertus de la cuisine locale, c'est un événement. Je retournerai à San Giminiano où il y a beaucoup mieux.

 

mardi 29 avril 2025

Massimiliano Caiazzo, acteur craquant



Netflix diffuse actuellement les quatre saisons de Mare Fuori (The sea beyond), tournée essentiellement à Naples par la RAI, rencontrant un immense succès en Italie et désormais partie à la conquête du monde. La série se déroule en grande partie dans un centre de détention pour mineurs. Les voyous du centre ont commis des délits plus que hautement répréhensibles, dont une flopée de meurtres, volontaires ou involontaires. C'est une suite de films très "napolitains", avec des personnages que j'aurais pu croiser dans les rues de cette ville brûlée et brûlante, fascinante. On s'attache à ces "sauvageon(ne)s" au fil des épisodes et au personnel d'encadrement, humain, compatissant, un peu trop idéal. Mais les acteurs sont excellents, notamment ces jeunes, haïssables et touchants à la fois, acteurs et victimes d'un système mafieux dont peu d'entre eux voudraient trouver l'issue. Quatre saisons, c'est beaucoup, trop sans doute, la lassitude venant, si ce n'est l'attrait que j'éprouve pour Massimiliano Caiazzo,  28 ans (photos), qui interprète Carmine, un garçon que des aléas diaboliques ont conduit entre des murs que l'on franchit, un peu aisément selon moi, à l'occasion des permissions accordées qui permettent… d'autres délits.
Si les scénaristes ont parfois cousu de fil blanc leur intrigue, n'en reste pas moins que le contexte a de quoi me ravir, ne serait-ce que par le dialecte local et les images de la ville qui danse sur un volcan.
Il faudra attendre la troisième saison pour qu'apparaissent deux (beaux) garçons gay. Le peu que j'en ai vu est loin des situations torrides des séries espagnoles, mais l'intégration dans les feuilletons pour jeunes adultes de protagonistes homos est devenue monnaie courante. Ce n'est pas ici que l'on s'en plaindra.
Toujours est-il que le personnage de Carmine (pur et impur à la fois, mais "straight"), joué par ce Massimiliano en découverte, est admirablement mis en valeur. 
Craquant, vous dis-je !


Supplément.
Les "sauvageons" de Mare fuori
sont de la même eau (de mer) que
ces ragazzi que j'avais capturés lors
d'un séjour napolitain :




dimanche 30 mars 2025

Jean Giono à Brescia



"J'entre dans la cour du Broletto et je suis heureux pendant plus de vingt minutes, comme je l'ai été
l'autre soir à Turin, 
c'est-à-dire sans raison bien déterminée. C'est un endroit où l'on attrape le bonheur, comme dans d'autres où l'on attrape la peste."
Jean Giono - Voyage en Italie
J'ai fait ces photos.

Si vous passez par Venise


La Caravella
"Pasta con tartufo nero e gamberi."
Le cadre et les mets sont
dignes de la Sérénissime.

À midi, un "aperitivo" généreux
(8 euros le spritz).
Qui dit mieux ?
(C'était en 2016, toutefois.)


lundi 30 décembre 2024

Ciel !


Après les agapes de la veille et les cris des enfants découvrant leurs cadeaux, le village s'était endormi dans son silence d'hiver.
À onze heures du soir, je suis monté à l'étage. De la fenêtre de ma chambre, je vis ce que la Ville (trop de) Lumière ne nous permet jamais de contempler : le firmament dans toute sa splendeur. Le souvenir me vint de L'Odyssée, dans laquelle Homère évoque le Titan Atlas, condamné par Zeus à porter sur ses épaules la voûte céleste pour l'éternité.

L' Atlas Farnèse - Musée archéologique de Naples

dimanche 18 août 2024

À propos de Vérone

Histoire mouvementée que celle de Vérone, qui fut, pendant la Seconde Guerre mondiale, le centre de la République de Salò (lac de Garde), créée par les nazis pour caser Mussolini et ses sbires et garder un œil sur lui. Les fascistes en repli se livrèrent dans la région à diverses exactions rapportées crûment par Pier Paolo Pasolini dans son film Salò ou les cent-vingt journées de Sodome (1975). Cette ignominieuse parenthèse prit fin avec, après celle du "Duce", avec l'exécution de son beau-fils et des (in)dignitaires du régime sur le Ponte Pietra.
Blason de Vérone
Plus près de nous, la ville fut successivement administrée par le parti Forza Italia, du "cavaliere" Berlusconi, puis par un maire issu des rangs de la Ligue du Nord du peu sympathique (euphémisme) Salvini, auquel succéda un "centre droit", pour enfin retrouver une respectabilité à mes yeux, avec l'élection, en 2022, de l'ancien joueur de foot Damiano Tommasi, se définissant comme "indépendant de centre gauche". Est-ce la conséquence de la séquence Ligue du Nord, la ville est très policée — ou discrètement policière - ? Toujours est-il qu'elle est d'une propreté exemplaire et qu'une jeune et belle femme, courtement vêtue, peut regagner son hôtel ou son domicile, solitairement, à toute heure de la nuit. On note, je l'ai déjà écrit précédemment, que les habitant(e)s sont habillé(e)s avec une recherche qui les différencie de leurs visiteurs. On ressent le besoin de se mettre au diapason : mon compagnon de voyage s'en alla quérir des effets qui ne méritaient certes pas l'appellation de "fringues", fort en usage dans nos contrées. La culture peut s'épanouir, ici, à longueur d'année : outre le festival lyrique des Arènes, en été, la ville accueille divers artistes de renommée mondiale, des pièces de théâtre, et un concours de piano international à l'automne. De quoi donner l'envie d'y retourner hors saison.

Même de traviole, le ciel de l'Italie...

                Et puis,
                n'est-ce pas…

mardi 13 août 2024

Prends Garde à toi !

Desenzano, lac de Garde. Jeudi dernier 8 août. 

 Je reviendrai vous narrer ce bref séjour à Vérone et rendre compte de la Carmen des arènes avec LA Netrebko*, que j'ai pu saluer de votre part.

* J'en connais un qui va sauter sur Wikipédés pour savoir qui est cette Nebretko et m'envoyer un lien en commentaire pour m'informer.