Erwin Olaf (Normal n° 7 - L'homme nu vu par...) |
Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
vendredi 30 septembre 2016
GC Déco : un vélo chez soi, c'est hyper-mega-over* tendance !
Selon les magazines de "déco" prescripteurs de tendance - "cette année, c'est le vert", par exemple - il est du dernier chic de mettre son vélo chez soi.
Mes voisins, qui l'ont fait par nécessité (peur du vol et des dégradations, ou impossibilité de le garer) apprécieront : ils sont devenus up to date !
Cela dit, sur l'illustration, l'important, c'est le cycliste.
* follement
Note du samedi 1er octobre :
après une longue délibération avec moi même, j'ai décidé d'accorder le label "Fouloulou !" à ce jeune homme.
Bientôt, en exclusivité mondiale sur Gay Cultes, seront décernés les "Foulou ! d'or 2016".
Jeu gastronomique
C'est un plat de saison de haute gastronomie.
Mais quoi ?
Réponse et publication des commentaires dimanche.
Le gagnant a le droit de m'inviter à déguster ce plat "mythique" (tiens, encore un terme galvaudé !).
jeudi 29 septembre 2016
L'homme nu vu par Normal, c'est beau !
La luxueuse revue Normal consacre sa toute dernière livraison à l'homme nu.
J'en montrerai quelques extraits ces jours-ci, car c'est un beau travail.
On appréciera les clichés de grands noms comme Erwin Olaf, Rancinan, Tony Duran ou James Bidgood, mais également ceux de de nouveaux talents comme Julien Benhamou ou Stefanie Renoma.
Pour tout vous dire, je vais en recevoir un exemplaire en échange.
J'aime ce genre de "transactions", si tant est que je garde mon droit de critique : un "service de presse", en somme.
En l’occurrence, il est peu surprenant que je préfère le travail d'un Erwin Olaf à celui de Jonathan Icher, (talentueux, pourtant !) les modèles barbus musclés n'étant pas spécialement ma tasse de cappuccino.
Quoi qu'il en soit, ce numéro 7 de Normal trouvera place avec bonheur sur nos tables basses (dans votre tiroir secret pour les plus jeunes non encore "coming-outés").
Note : reçu ce matin, c'est un très bel objet, plus proche du "beau livre" que de la simple revue, ce qui explique son prix (25 €).
J'en montrerai quelques extraits ces jours-ci, car c'est un beau travail.
On appréciera les clichés de grands noms comme Erwin Olaf, Rancinan, Tony Duran ou James Bidgood, mais également ceux de de nouveaux talents comme Julien Benhamou ou Stefanie Renoma.
Pour tout vous dire, je vais en recevoir un exemplaire en échange.
J'aime ce genre de "transactions", si tant est que je garde mon droit de critique : un "service de presse", en somme.
En l’occurrence, il est peu surprenant que je préfère le travail d'un Erwin Olaf à celui de Jonathan Icher, (talentueux, pourtant !) les modèles barbus musclés n'étant pas spécialement ma tasse de cappuccino.
Quoi qu'il en soit, ce numéro 7 de Normal trouvera place avec bonheur sur nos tables basses (dans votre tiroir secret pour les plus jeunes non encore "coming-outés").
Note : reçu ce matin, c'est un très bel objet, plus proche du "beau livre" que de la simple revue, ce qui explique son prix (25 €).
mercredi 28 septembre 2016
" Juste la fin du monde " : arrête ton char, Xavier !
Z'auraient dû garder cette affiche. |
C'était aussi l'avis d'un jeune homme nouvellement adoubé de mon petit cercle qui partageait pour la première fois nos agapes post-vespérales, dimanche dernier.
Inversement, un autre blogueur-copain (Guillome) se pâmait, lui, n'hésitant pas à qualifier ce cher Xavier de "génie", ce que ne manqueront pas d'apprécier, du haut de leur retraite, Kurosawa, Chaplin, Ford et autres grands noms de l'histoire du cinéma.
J'ai donc vu le film en toute objectivité dans les meilleures conditions (au Max Linder, la meilleure salle parisienne), mardi après-midi (mon jour de congé), installé confortablement au premier rang de la mezzanine (zeplacetoubi), très accessible, à cette heure, quand, en d'autres circonstances, il faut jouer des coudes pour y accéder.
Le son est super, au Max Linder ; l'écran géant incurvé reflète une image numérique sans défaut.
Voilà, voilà, voilà.
Ah oui, le film !
Oui, Celeos et l'ange à la dent dure de l'aperitivo avaient raison : c'est un cinéma fatiguant, épuisant, prise-de-tête, qui se la pète. Pour rien.
Cette image dit beaucoup de choses. |
Voili, voilou, voiça : pour le reste, lisez les 2 billets publiés dans Véhèmes, dont le dernier qui presse le jeune cinéaste de s'arrêter un moment, de reprendre son souffle, de voir de grands films, de faire l'amour...
Xavier, on a aimé ta spontanéité, tes larmes, à Cannes, tes premiers films foudroyants, leur sincérité.
Quant au plus récent, ces 95 minutes de masturbation filmique, on espère que tu nous le fera oublier. Dans "quelque temps". D'ici là, gare ton char sur le bas-côté, et réfléchis : va, vis, deviens. C'est tout le mal qu'on te souhaite.
Juste la fin du monde, de Xavier Dolan.
Actuellement en salles.
*Les deux billets de Celeos dans Véhèmes ici : clic
et là : reclic
Lu et approuvé.
Prague en CinemaScope
Thomas, fidèle lecteur, m'envoie par mail cette belle photo de sa ville. Selon les plus récentes enquêtes, Prague est considérée comme la ville la plus sympa d'Europe.
Les sondés mettent l'accent sur les prix très abordables, la qualité de la vie, la beauté du site, et l'ouverture d'esprit des habitants : les peuples qui ont beaucoup souffert sont enclins à la tolérance.
Cliquer sur l'image pour un panorama de nature à vous donner envie de faire votre valise sur le champ.
Les sondés mettent l'accent sur les prix très abordables, la qualité de la vie, la beauté du site, et l'ouverture d'esprit des habitants : les peuples qui ont beaucoup souffert sont enclins à la tolérance.
Cliquer sur l'image pour un panorama de nature à vous donner envie de faire votre valise sur le champ.
mardi 27 septembre 2016
lundi 26 septembre 2016
Paris sera toujours Paris
Jalil Lespert a réalisé ce clip promotionnel pour la Mairie de Paris.
Il n'a pas oublié d'y faire figurer un couple de garçons.
C'est bien.
Fluctuat nec mergitur, hein !
dimanche 25 septembre 2016
Formulation à la c..
On trouverait plus normal qu'ils présentent des excuses plutôt que d'accorder leur pardon.
Mais bon, ce sont des conservateurs, et les nôtres ne le feraient pas, vu la chasse aux voix extrêmes devenue sport national dans l'hexagone.
L'article intégral ici : clic
*Je précise qu'Alan Turing s'est vraisemblablement suicidé après qu'on a tenté de pratiquer sur lui une castration chimique en lui administrant des hormones féminines.
Ça ne vaut pas des excuses ?
Mythe
samedi 24 septembre 2016
Classieux classique
Tim Dibble par Christophe Meimoon - L'Officiel Hommes Germany |
Vu chez Another Country
Sur un rythme gay et entraînant
Très bien réalisé.
De plus, la chanson n'est pas indigne : j'avoue quelques pas de danse sur le parquet du salon dès l'aube.
vendredi 23 septembre 2016
Art de rue à Bruxelles : et vous, ça vous choque ?
Réalisée en une seule nuit, cette œuvre est apparue aux yeux des Bruxellois au début de cette semaine. On peut l'admirer sur une façade de la Barrière de St Gilles, l'un des quartiers les plus fréquentés de la ville du Manneken-Pis.
"La fresque* a été réalisée dans la nuit de mercredi à jeudi, mais je vous assure que ce n’est pas la commune qui l’a commanditée", a ironisé l’échevin de la Propreté Carlo Luyckx (PS) selon DH.be.
Une autre fresque*, représentant, celle-là, la pénétration d'un pénis dans un vagin, a fait son apparition rue des Poissonniers.
L'auteur (ou les auteurs) n'ont pas, pour l'instant, revendiqué leurs œuvres.
Je tiens à leur disposition l'adresse de quelques lieux, à Paris, où ils pourraient trouver un support de nature à égayer notre automne.
*Ce n'en sont pas, d'ailleurs, me rappelle Pierre, dans un commentaire.
"La fresque* a été réalisée dans la nuit de mercredi à jeudi, mais je vous assure que ce n’est pas la commune qui l’a commanditée", a ironisé l’échevin de la Propreté Carlo Luyckx (PS) selon DH.be.
Une autre fresque*, représentant, celle-là, la pénétration d'un pénis dans un vagin, a fait son apparition rue des Poissonniers.
L'auteur (ou les auteurs) n'ont pas, pour l'instant, revendiqué leurs œuvres.
Je tiens à leur disposition l'adresse de quelques lieux, à Paris, où ils pourraient trouver un support de nature à égayer notre automne.
*Ce n'en sont pas, d'ailleurs, me rappelle Pierre, dans un commentaire.
jeudi 22 septembre 2016
Écrire, dit-il
Peu de textes, ici, ces jours-ci, ou, simplement, les fulgurances du jour.
Mais j'écris beaucoup par ailleurs, et ne manquerai pas de partager avec vous, prochainement, le fruit de mes divagations.
mercredi 21 septembre 2016
Simone au naturel
* |
Je veux bien la découvrir en voiture avec Simone, jeune modèle dont on voit, ci-dessus, qu'il n'a pas besoin d'artifices pour sublimer son physique, avantageux à mon goût.
Cependant, ci-dessous, vous comprendrez pourquoi je parle de trésor baroque.
Par Willy Vanderperre pour Vogue Hommes International France |
Et, dans la vraie vie...
Absolument Italien |
* Ceux qui suivent savent que cet animal rugissant signifie "je craque !".
Demain, c'est l'automne
"Fin de vacances" - Robert Bliss 1968 |
que j'aimerais l'automne sans son cortège de mélancolies.
mardi 20 septembre 2016
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