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Photo Jordan Latuile |
Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
mardi 25 juin 2024
Quelque chose en nous de Tennessee
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Titre français : La chatte sur un toit brûlant |
![](http://4.bp.blogspot.com/_GWL3LyNaQGw/SODRNUnMr0I/AAAAAAAAD4c/tNW3HAV-a14/w395-h305/chatte.jpg)
![](http://2.bp.blogspot.com/_GWL3LyNaQGw/SODRNZV67pI/AAAAAAAAD4k/OMB-_sdeP1k/s400/chatte2.jpg)
![](http://1.bp.blogspot.com/_GWL3LyNaQGw/SODRNd5R9gI/AAAAAAAAD4s/7gh8Sk7Ss6E/s400/CHATTE3.jpg)
La dimension homosexuelle du film de Richard Brooks n'aura pas échappé aux "initiés" ; très importante dans l'œuvre originale de Tennessee Williams, elle fut quelque peu édulcorée ici après le passage de la censure.
Celle-ci avait déjà sévi pour "Un tramway nommé désir", faisant supprimer un passage dans lequel Vivien Leigh devait avouer qu'elle avait poussé son jeune mari au suicide après avoir découvert son homosexualité.
Paul Newman, dans le film qui nous intéresse, fait du personnage de Brick, avec un courage certain, une icône gay : Brick est forcément mal marié et noie dans le whisky le chagrin causé par la mort de son ami (son amant, quoi !).
Un bras d'honneur en direction du sacro-saint "code Hays" encore en vigueur à Hollywood à la fin des années 50.
Rendre hommage à cette "star" incontestée du cinéma, consistera pour nous à revoir le film* réellement "culte" de Richard Brooks, d'autant qu'Elisabeth Taylor (so "gay friendly" dans la vie !) est une incandescente Maggie ; ce qu'il fallait pour se confronter à l'éminemment sexuel Newman.
lundi 24 juin 2024
Ce cher Jean-Pierre Léaud
dimanche 23 juin 2024
Pollini/Ozawa : double hommage
Nous avons besoin de gens comme eux.
Plus que jamais en cette époque barbare.
samedi 22 juin 2024
" The celluloïd closet " sur France Télévisions (ce soir sur France 4)
J'ai souvent évoqué ici ce remarquable "doc" de Rob Epstein et Jeffrey Friedman sorti en salles en 1995.
Le service public, que le parti populiste d'extrême droite veut privatiser (bolloréiser, sans aucun doute) si, par malheur, il accède au pouvoir, nous permet de le voir ou de le revoir ce soir. Le film est par ailleurs visible à loisir sur la plateforme France Télévisions.
Rappelons-en le synopsis :
L'homosexualité a très longtemps été considérée comme un tabou absolu par le 7e art en général et par Hollywood en particulier. Pourtant, un examen attentif de la production cinématographique américaine réserve bien des surprises. En s'appuyant sur le livre de Vito Russo, Robert Epstein et Jeffrey Friedman passent en revue différents personnages homosexuels, hommes ou femmes, tels qu'ils ont été incarnés et plus généralement suggérés dans plus d'une centaine de films, dont certains sont devenus des grands classiques du cinéma. Divers auteurs, scénaristes ou comédiens comme Tony Curtis, Tom Hanks, Shirley MacLaine ou Susan Saradon, racontent des anecdotes de tournage.
Le service public, que le parti populiste d'extrême droite veut privatiser (bolloréiser, sans aucun doute) si, par malheur, il accède au pouvoir, nous permet de le voir ou de le revoir ce soir. Le film est par ailleurs visible à loisir sur la plateforme France Télévisions.
Rappelons-en le synopsis :
L'homosexualité a très longtemps été considérée comme un tabou absolu par le 7e art en général et par Hollywood en particulier. Pourtant, un examen attentif de la production cinématographique américaine réserve bien des surprises. En s'appuyant sur le livre de Vito Russo, Robert Epstein et Jeffrey Friedman passent en revue différents personnages homosexuels, hommes ou femmes, tels qu'ils ont été incarnés et plus généralement suggérés dans plus d'une centaine de films, dont certains sont devenus des grands classiques du cinéma. Divers auteurs, scénaristes ou comédiens comme Tony Curtis, Tom Hanks, Shirley MacLaine ou Susan Saradon, racontent des anecdotes de tournage.
Bande-annonce originale (en angliche) :
La Sérénissime se mérite
vendredi 21 juin 2024
Toujours jeune, ce MC Zarmo !
Je me permets de penser que le génie de Salzbourg aurait apprécié cette version de sa Marche Turque revue par le pianiste turc Fazil Say.
jeudi 20 juin 2024
mercredi 19 juin 2024
À Nissa la Bella
La pissaladière, création niçoise, (voir billet précédent) m'a ramené à mes années azuréennes. Je détestais les galets de la plage de Nice, ville où je me rendais deux fois par semaine pour mes cours de piano, à l'âge du garçon de la photo ci-dessus. Je faisais toujours une halte dans le magasin-atelier bric-à-brac de Ben, lequel vient de mourir, choisissant le suicide quelques heures après la mort de son épouse avec laquelle il avait vécu une relation fusionnelle.
Les artistes locaux ont créé la fresque ci-dessous pour rendre hommage à l'artiste franco-suisse qui aura laissé une empreinte indélébile dans la grande ville méditerranéenne.
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Photo France 3 |
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Je faisais toujours une halte dans le magasin-atelier bric-à-brac de Ben... |
Madeleine
C'est dans le vieil Antibes,
dans les Alpes-Maritimes,
que l'on trouve la meilleure
pissaladière du monde.
Je n'en donne l'adresse
qu'à des "fouloulous" de
20 à 29 ans et demi.
mardi 18 juin 2024
lundi 17 juin 2024
dimanche 16 juin 2024
À bras le corps
Émile FRIANT (1863-1932)
La Lutte (détail), 1899
Huile sur toile, 193,5 x 115,5 cm
Montpellier, musée Fabre
© Musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole / photographie Frédéric Jaulmes
samedi 15 juin 2024
Une rareté : "Christmas, USA"
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Mario Antonini |
vendredi 14 juin 2024
jeudi 13 juin 2024
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