ne
pensais
pas
aimer
autant
le flamenco.
Le garçon des photos nous subjugua, de grâce et de passion entremêlées.
Le "vino tinto" (vin rouge) de la région, capiteux, exacerba notre enthousiasme.
* En vacances, il est permis de rêver.
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J'ai un grand souvenir, à Madrid, d'avoir (été poussé à) danser une sévillane. C'était avec une femme (nobody's perfect) et c'est là que j'ai compris "de visu" le sens de l'expression : "des yeux de braise". C'était Carmen ! pas moins. J'en frissonne encore et ne l'oublierais jamais.
RépondreSupprimerJ'aurais bien aimé que ce jeune m'entraîne dans sa danse enflammée.
RépondreSupprimerPetit veinard ! Le flamenco et l'ivresse font bon ménage.
RépondreSupprimer(Et quel bel Andalou !)