J'ai fait toutes les gares,
j'ai pris tous les avions du monde,
traîné mes yeux hagards
dans tous les cafés à la ronde
pour te retrouver.
Parce que je t'ai aimé.
Peste soit des gens pressés : j'avais lu et apprécié ce très beau billet sans écouter la chanson ! Je m'y reconnais aussi. Pour les lecteurs, cliquez sur "campo dei fiori" dans les libellés de Véhèmes.
ça me donne envie de publier sur facebook, mais mes "amis" n'osent plus liker - sans même parler de commenter - par peur qu'on les prenne pour des personnes vraies. Vrai étant devenu synonyme de socialement risqué.
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" Je t'ai attendu dans ce rade triste, il était trop tôt pour ma défaite."
RépondreSupprimerÉtienne Daho
Une invitation à le retrouver.
RépondreSupprimerIntéressant : ça date de quand ?
RépondreSupprimerCar le court texte, ici, est l'une de mes vieilleries.
Chansons de l'innocence retrouvée, "l'homme qui marche". J'aurais pu l'écrire, à quelque chose près. J'ai un billet là-dessus : "Campo dei fiori".
SupprimerPeste soit des gens pressés : j'avais lu et apprécié ce très beau billet sans écouter la chanson !
RépondreSupprimerJe m'y reconnais aussi.
Pour les lecteurs, cliquez sur "campo dei fiori" dans les libellés de Véhèmes.
ça me donne envie de publier sur facebook, mais mes "amis" n'osent plus liker - sans même parler de commenter - par peur qu'on les prenne pour des personnes vraies. Vrai étant devenu synonyme de socialement risqué.
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