Frédéric Chopin en 1849, peu de temps avant sa mort |
Et de trouver maints arguments, dans les confidences de George Sand notamment.
On s'en contrefiche : l’œuvre est là, où chacun trouvera son bonheur.
Ce qui est vrai, en tout cas, c'est que les pianistes savent combien l'interprétation d'une pièce de Chopin, dans une intimité propice, est une arme de séduction redoutable.
Gay ou non, Chopin aura favorisé bien des épanchements ; c'est là l'essentiel.
Daniil Trifonov, habité, au Concours International Chopin, édition 2010.
Juste et bel article. Que cette nouvelle année vous soit bonne et belle.
RépondreSupprimerAlexis de Savoie.
Merci Alexis, au pseudo en madeleine...
RépondreSupprimerBonne année à vous !
Bonjour
RépondreSupprimerGrace à ce pianiste j'ai découvert le concerto n°1 de Chostacovitch plein d'humour et de délicatesse, interprétation bissé à Pleyel :https://www.youtube.com/watch?v=WyADlfFSFC0
Jean-Paul V
Effectivement, Jean-Paul V : Trifonov a déjà un répertoire éclectique, de Mozart à Shostakovich en passant par Chopin.
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