Cornelis n'a pas tort : je suis admiratif de ce beau travail. Néanmoins la plastique du danseur, l'esthétique de son corps fait du corps lui-même un medium entre l'artiste et son public. De manière générale, les tatouages, qui ont une histoire différente en Occident et dans d'autres parties du monde, sont aussi un langage. Ici, il me semble qu'il existe une distorsion entre l'admirable expression de son rapport à l'espace et ce qu'il a infligé - désolé pour le terme, mais le tatouage est généralement définitif, et pas qu'une peinture sur corps, qui est autre chose - à sa peau. Pour autant, Serguèi Polunin est un artiste sublime.
@Celeos : " Pour autant, Serguèi Polunin est un artiste sublime." Vous êtes moins lapidaire que Cornelis. Pour le reste, je suis d'accord avec vous ; mais, au risque de nous répéter, n'en reste pas moins que "Serguèi Polunin est un artiste sublime."
Pour moi, au contraire, ces tatouages font partie intégrante de l'échange entre le danseur et le spectateur, et participe à la lecture de ce magnifique spectacle.
Je suis vraiment confus, et désolé, si mon message a pu vous paraître désagréable ou trop sec... Ce n'était pas mon intention.
Les tatouages de la discorde ont, en effet, fait un peu trop écran à mes yeux pour que je profite pleinement de ce corps, d'une grande beauté, c'est vrai.
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Sublime en effet. Magnifique danseur dans un lieu splendide ou splendide danseur dans un lieu magnifique: on ne sait comment le dire
RépondreSupprimerPaul
"The artist" chacun de leur côté et sans paroles ! ah ce pouvoir évocateur du corps !
RépondreSupprimerTrès beau, artiste inspiré et très bien filmé.
RépondreSupprimerAntonin
... mais quelle horreur que ces tatouages !
RépondreSupprimer-Cornelis-
@Cornelis : je n'aime guère les tatouages, mais si vous ne voyez que ça, c'est bien dommage.
RépondreSupprimerCornelis n'a pas tort : je suis admiratif de ce beau travail. Néanmoins la plastique du danseur, l'esthétique de son corps fait du corps lui-même un medium entre l'artiste et son public. De manière générale, les tatouages, qui ont une histoire différente en Occident et dans d'autres parties du monde, sont aussi un langage. Ici, il me semble qu'il existe une distorsion entre l'admirable expression de son rapport à l'espace et ce qu'il a infligé - désolé pour le terme, mais le tatouage est généralement définitif, et pas qu'une peinture sur corps, qui est autre chose - à sa peau. Pour autant, Serguèi Polunin est un artiste sublime.
RépondreSupprimer@Celeos : " Pour autant, Serguèi Polunin est un artiste sublime." Vous êtes moins lapidaire que Cornelis. Pour le reste, je suis d'accord avec vous ; mais, au risque de nous répéter, n'en reste pas moins que "Serguèi Polunin est un artiste sublime."
RépondreSupprimerPour moi, au contraire, ces tatouages font partie intégrante de l'échange entre le danseur et le spectateur, et participe à la lecture de ce magnifique spectacle.
RépondreSupprimerBon, bin moi j'prends tout, y compris les tatouages.
RépondreSupprimerIl faut savoir faire des concessions parfois.
Marie
Cher Silvano,
RépondreSupprimerJe suis vraiment confus, et désolé, si mon message a pu vous paraître désagréable ou trop sec... Ce n'était pas mon intention.
Les tatouages de la discorde ont, en effet, fait un peu trop écran à mes yeux pour que je profite pleinement de ce corps, d'une grande beauté, c'est vrai.
Bien à vous.
-Cornelis-
Pas de problème, Cornelis : à se vouloir concis, on est parfois lapidaire ; ça peut m'arriver aussi. Amitiés, S.
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