Et puis, il y a Silvana Mangano (ne pas confondre avec Silvano Mangana, j'en rougirais !), dont les apparitions, fugaces, pourtant, s'imprègnent à jamais dans notre mémoire cinéphile.
Film parfait, éminemment "proustien", comme le démontrait l'excellent document qui suivit sa diffusion, Mort à Venise touche le spectateur, quelles que soient ses inclinations, parce qu'il célèbre la beauté universelle, en un Tadzio qui eût pu être une Tadzia, parce que, qu'on l'avoue ou non, nous poursuivons tous notre jeunesse perdue, parce que aimer, c'est vivre.
L'irremplacé Luchino Visconti, à gauche, et Bjorn Andresen, à droite |
Et puis, il y a Silvana Mangano |
Une invitation à relire la nouvelle de Thomas Mann, le film appartenant à notre panthéon.
RépondreSupprimerEt le mythe faustien," la jeunesse t'appelle, ose la regarder", on l'oublie?
RépondreSupprimerCertes, Joseph, mais encore faut-il vouloir vendre son âme au diable.
RépondreSupprimeraprès avoir trop tirer le diable par la queue, ou à force de l'avoir au corps, ce n'est qu'un retour de manivelle, et au départ Faust n'y tenait pas, il le fait par amour !
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