dimanche 1 novembre 2015

Un autre Sébastien

Blondinet à souhait : Michael Biehn
Il y eut un Martyre de Saint-Sébastien que je n'ai pas vu, improbable coproduction européenne de 1984 où le Saint est incarné, en vision plus éphèbophile par Michael Biehn, habitué des plateaux tv, qu'on a pu voir, notamment dans la série inspirée des Sept mercenaires ou, au cinéma, dans Le roi scorpion.
Franco Citti, disciple de Pasolini fait partie de la distribution.
Pour le reste, les extraits visibles ici et là - voire risibles ici et là - ne donnent pas à penser qu'on est passé à côté d'un chef-d’œuvre.
Celui-ci m'a plu surtout pour la chanson qui l'accompagne (Cavaleiro Monge par Mariza) :


2 commentaires:

  1. avec une coulée d'huile et une pointe d'estragon,
    un filet de sébaste tient la cuisson!

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  2. La chanson est musicalement fort belle (même si je n'entends pas le portugais).

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