Avec mes plus vifs remerciements à Stanislas Leszczynski, Duc de Lorraine et Roi de Pologne. La recette du baba-au-rhum lui vint à l'esprit alors que son pâtissier s'affairait à la réalisation d'un vulgaire (et lourd) kouglof.
Il donna à son invention le nom d'Ali Baba.
J'ai le souvenir d'un baba à la crème de limoncello, dégusté à Naples (qui se proclame capitale du baba, si !) dégusté en compagnie de deux acolytes émerveillés.
Photos : le baba de chez Stohrer à Paris (2è) qui fait référence.
J'en reste ébabahi...
RépondreSupprimerMa grand-mère, Dieu ait son âme, avait résilié son engagement à la ligue antialcoolique pour pouvoir manger des babas au rhum. Pour ma part, j'ai un souvenir impérissable de polonaises qui sont, si je ne m'abuse, de simples brioches de boulanger fourrées de crème pâtissière et arrosées de rhum. A se damner si ce n'était déjà fait, dans mon cas, pour d'autres raisons.
RépondreSupprimerLudovic, la damnation n'existe pas, je tenais à vous rassurer en ce domaine.
RépondreSupprimerApprécier les bonnes choses, comme les bonnes gens, les recevoir et les accueillir comme un cadeau du ciel... n'est-ce pas la meilleure chose que nous puissions vivre dans ces temps de "fureur" ?
L’enfer n’existe pas, c’est ce que Gide aurait affirmé à Mauriac pour le rassurer, dans un télégramme qu’il lui aurait envoyé d’outre-tombe le lendemain de sa mort. Mais Gide n’aimait pas Mauriac et il était bien capable de l’inciter à se damner. Vous ne feriez pas une telle chose, Silvano ? Et puis de toute façon, c’est trop tard pour moi. Pour Mauriac aussi semble-t-il. Mais d’où tenez-vous vos certitudes concernant la damnation ?
RépondreSupprimerJe pense que la dernière question de Ludovic s'adresse à Bive. Agnostique fervent (je me "sic" dessus), je n'ai, quant à moi, aucune certitude sur la damnation.
RépondreSupprimerEffectivement: télescopage dans les réponses. Mille excuses. Content toutefois de vos précisions, Silvano, quant à vos incertitudes concernant la damnation lesquelles ne semblent pas trop vous inhiber et vos ferveurs agnostiques que je partage. La question reste donc posée à Bive
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