À Turin, j'ai cru remarquer (mon optimisme congénital ?) que le port de la barbe fournie, celle qui bouffe le visage, dont elle ne permet de discerner les traits, passe doucement de mode.
J'y ai croisé des garçons imberbes ou, comme celui-ci, dotés d'une pilosité faciale soigneusement domestiquée ; propres, quoi.
Par contre, les tatouages s'affichent sur nombre d'épidermes, dont celui de ce très beau ragazzo (accompagné de sa copine, pleurs !) qui arborait en guise d’œuvre d'art sur son bras gauche... un masque de plongée !
beh, vedi caro Silvano, a Torino è nata l'Italia, è nata la moda, è nato il Cinema, è nata la radio e poi la televisione poi Roma di diritto e Milano di rapacità si sono prese tutto; Torino è sempre la città laboratorio: e allora speriamo che Torino sia l'inizio della moda "Joues Libres"
RépondreSupprimerComplimenti per aver fotografato questa bellezza