Je vous le souhaite également, Silvano. De tout coeur. Dans le doux trouble de vos bonheurs ravivés. Marie
"En examinant la nuance grise d'une opale, je me uis rappelé deux beaux yeux gris que j'ai rencontrés ; cela fait près de vingt ans...
Nous nous sommes aimés pendant un mois. Ouis ile est allé à Smyrne, je crois, pour y travailler, et nous ne nous sommes plus revus.
Ils ont dû se ternir -s'il vit encore- ces yeux gris ; le beau visage se sera fané.
Toi, ma mémoire, conserve-les tels qu'ils étaient. Et ce que tu pourras, mémoire, de cet amour, tout ce que tu pourras, rends le moi ce soir." C. CAVAFIS
Quand j'avais son âge, je ne montrais pas mon petit oiseau à tout le monde... Oui, bon je sais, ce n'est pas aussi relevé qu'un poème de Cavafis mais avouez que vous y avez tous pensé.
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Bon dimanche.
RépondreSupprimerJe vous le souhaite également, Silvano.
RépondreSupprimerDe tout coeur. Dans le doux trouble de vos bonheurs ravivés.
Marie
"En examinant la nuance grise d'une opale,
je me uis rappelé deux beaux yeux gris
que j'ai rencontrés ; cela fait près de vingt ans...
Nous nous sommes aimés pendant un mois.
Ouis ile est allé à Smyrne, je crois,
pour y travailler, et nous ne nous sommes plus revus.
Ils ont dû se ternir -s'il vit encore- ces yeux gris ;
le beau visage se sera fané.
Toi, ma mémoire, conserve-les tels qu'ils étaient.
Et ce que tu pourras, mémoire, de cet amour,
tout ce que tu pourras, rends le moi ce soir."
C. CAVAFIS
Merci, chère Marie. On rectifiera sans mal les "coquillettes" dans le poème de Cavafis.
RépondreSupprimerQuand j'avais son âge, je ne montrais pas mon petit oiseau à tout le monde... Oui, bon je sais, ce n'est pas aussi relevé qu'un poème de Cavafis mais avouez que vous y avez tous pensé.
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