Je jure que seule la qualité de l'enregistrement et la beauté de cette oeuvre ont déterminé le choix de la séquence musicale de ce dimanche.
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| Charlie Brusquini, Suède. |
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| Charlie Brusquini, Suède. |
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Brusquini avec un q c'est mieux pour lui comme pour nous !
RépondreSupprimerBonne journée confinée !
F.
F. : décidément, l'Italie m'obsède au point d'écrire "ch" qui se prononce "q" dans la langue de Dante.
RépondreSupprimerÇa nous vengera des restaurants "italiens" (mon œil !) qui affichent des "brusquettas" comme je le vis un jour.
Qui mettrait en doute vos saintes motivations dominicales Silvano ? Pour ma part, je serais comblé si cet ange séraphin avait de jolie chaussettes arc-en-ciel.
RépondreSupprimerL'alliance du plaisir des oreilles et des yeux....
RépondreSupprimerCher Silvano, trois ans au moins que je suis votre blog sans intervenir,
RépondreSupprimermais là, je dois avouer qu'étant à la base amateur de Bach, je ne connaissais pas cette fugue et encore moins son magnifique interprète!
Je prépare mes valises pour la Suède dès le déconfinement!!!
Bonjour. Charmant jeune homme. Je me permets une suggestion pour une prochaine vidéo https://www.youtube.com/watch?v=rUSvj8UvFLo. On pourra y écouter la musique envoûtante d'Igor Krutoy (au piano) et surtout la voix surnaturelle de Dimash Kudaibergen. Le final est aussi éblouissant que sa plastique est impeccable, sublime en costume blanc et ... sans chemise. Ange ou extra-terrestre ?
RépondreSupprimerAu plaisir de vous lire.
J.
J. : on est très loin de Bach, en l'occurrence, mais pourquoi pas ! Je le note.
RépondreSupprimerPour en revenir à J.S. Bach, la fugue gigue BWV 577 est particulièrement euphorisante pour cette triste période sans concerts.
RépondreSupprimerJBBD