Leonard Bernstein et Glenn Gould |
Glenn Gould savait-il qu'à l'instar du Crassus de Spartacus, Leo aimait à la fois les huîtres et les escargots ? (*)
Les amateurs de musique savent sans doute que les deux grands artistes eurent un différend relatif au tempo du premier concerto de Brahms qu'ils présentèrent à Carnegie Hall le 6 avril 1962, concerto dont j'insérai il y a peu l'Adagio par le duo Giulini/Arrau.
Dans ce mouvement, je préfère nettement l'interprétation d'Arrau à celle du pianiste canadien.
* En référence au film de Kubrick,
je recommande l'excellent document d'Arte
sur l'acteur Tony Curtis que l'on peut voir jusqu'au 15 mai : clic
Note ce samedi midi :
je ne pensais pas la trouver sur YouTube, mais quelle richesse que cette émanation des GAFA !
Donc, tant pis, allez écouter et voir la sublime version des deux concertos par le tandem Bernstein/Zimerman en 1983 ; c'est ici : clic
ce sont de sacrées références que vous citez là ! profeciat !
RépondreSupprimerProficiat, Joseph, si vous permettez.
SupprimerYama Zek
¿Pertenecía Glenn Gould a nuestra Santa Cofradía?
RépondreSupprimerfilidor : je ne crois pas. C'était un extraterrestre.
RépondreSupprimermille excuses pour cette erreur , Yama Zek, mais dans ma région wallonne on prononce de la manière proféciat et j'ai oublié l'accent, c'est vrai !
RépondreSupprimerEntendu ce matin et hier à la même heure (08h55) dans l'émission 6/9, la chronique de musique classique d'Anna Sigalevitch, Bruno Monsaingeon sort chez Bouquin Robert Laffont "Glenn Gould. Contrepoint à la ligne et autres écrits". Sans les documentaires de Bruno Monsaingeon passés sur Arte à la création de la chaîne, jamais je n'aurai connu Glenn Gould à l'adolescence. Longue vie à Bruno Monsaingeon !
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