Est-ce le confinement qui favorise la nostalgie ? La fièvre dans le sang, le film de Kazan de 1961 auquel vous restituez heureusement son titre original emprunté à un poème de Wordsworth reste pour moi un monument élevé à la beauté de Natalie Wood et surtout de Warren Beatty qui ne sera jamais plus émouvant que dans la dernière scène. Pour ce qui est de ce très sympathique film sur Tony Curtis, c’est une époque un peu antérieure et donc Bernie Schwartz est un peu moins une idole de ma génération. Mais il est immortel grâce à Certains l’aiment chaud. Il était tout de même absolument craquant du temps où Marilyn était un de ses premiers amours… Ah Silvano ! où nous entrainez-vous ? Il faut avouer à vos jeunes amis que c’était une époque où les jeunes gays rêvaient beaucoup mais où peu vivaient leurs rêves (lesquels étaient pénalement répréhensibles et médicalement considérés comme pathologiques). Ce qui ne veut évidemment pas dire que tout est facile aujourd’hui. (Cf. Le refuge). Bon dimanche à tous.
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moi j'avais en tête la mélodie " the green green grass of home " pour son côté spleen "
RépondreSupprimerEst-ce le confinement qui favorise la nostalgie ? La fièvre dans le sang, le film de Kazan de 1961 auquel vous restituez heureusement son titre original emprunté à un poème de Wordsworth reste pour moi un monument élevé à la beauté de Natalie Wood et surtout de Warren Beatty qui ne sera jamais plus émouvant que dans la dernière scène. Pour ce qui est de ce très sympathique film sur Tony Curtis, c’est une époque un peu antérieure et donc Bernie Schwartz est un peu moins une idole de ma génération. Mais il est immortel grâce à Certains l’aiment chaud. Il était tout de même absolument craquant du temps où Marilyn était un de ses premiers amours… Ah Silvano ! où nous entrainez-vous ? Il faut avouer à vos jeunes amis que c’était une époque où les jeunes gays rêvaient beaucoup mais où peu vivaient leurs rêves (lesquels étaient pénalement répréhensibles et médicalement considérés comme pathologiques). Ce qui ne veut évidemment pas dire que tout est facile aujourd’hui. (Cf. Le refuge). Bon dimanche à tous.
RépondreSupprimerSilvano n'anglicise pas, mais plutôt italianise
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