Quand le cygne parut, si blanc sur ce front pâle, L’éphèbe tressaillit d'aise et demeura songeur, Puis, langoureusement, il retint le beau mâle Et se coiffa le chef de cette fière blancheur ;
La bête s’ébrouait, belle, ardente, et d'un air Si royal et si mâle, que l’ange fut charmé Et qu'il regretta, dans l'erreur de sa chair, De n'être pas un cygne, afin d'en être aimé.
Vous êtes bien des citadins... :-) le cygne est une bestiole hargneuse, presque autant qu'une vachette guyluxienne... ;-) merci à notre hôte pour ses beaux billets
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Petit pastiche :
RépondreSupprimerQuand le cygne parut, si blanc sur ce front pâle,
L’éphèbe tressaillit d'aise et demeura songeur,
Puis, langoureusement, il retint le beau mâle
Et se coiffa le chef de cette fière blancheur ;
La bête s’ébrouait, belle, ardente, et d'un air
Si royal et si mâle, que l’ange fut charmé
Et qu'il regretta, dans l'erreur de sa chair,
De n'être pas un cygne, afin d'en être aimé.
Pierre
Joli pastiche.
RépondreSupprimerEt c'est plus joli que la chanson de J.J.
RépondreSupprimerMais Léda, sans être cygne, en fut bien aimée.
Vous êtes bien des citadins... :-) le cygne est une bestiole hargneuse, presque autant qu'une vachette guyluxienne... ;-) merci à notre hôte pour ses beaux billets
RépondreSupprimerJean : le citadin que je suis a subi un jour les assauts d'un cygne courroucé !
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