mardi 10 novembre 2020
3 commentaires:
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Merci de ce partage.
RépondreSupprimerEn fait c’est bien dès la fin du XIXéme siècle, en France par Vincent d’Indy notamment, que furent redécouverts et joués Vivaldi, Monteverdi et autre Couperin. Le fondateur de la Scola Cantorum a publié l’Orfeo, a arrangé des sonates de Vivaldi. Pour ce dernier un de ses grands spécialistes Federico Maria Sardelli a conté dans un roman passionnant, l’Affare Vivaldi (non traduit en français mais facile à comprendre avec quelque vernis d’italien) le cheminement de ses manuscrits jusqu’à la bibliothèque de Turin au premier quart du XXéme.
Franck
Merci à Franck pour cet éclairage. J'évoquais plutôt la diffusion vers le "grand public" ; vous savez, quand "Les 4 saisons" ont commencé à servir de musique d'attente téléphonique des sociétés, comme le furent les Brandebourgeois de Bach ?!
RépondreSupprimerQuant à la "vulgarisation" de Monteverdi, malgré l'excellent travail de l'excellent Vincent d'Indy, on dut attendre encore longtemps.
Cela dit, tout gamin, j'avais retenu le nom de Palestrina que l'on n'évoque plus guère de nos jours. Comme quoi...
Cela dit, ces deux commentaires ont peu à voir avec cette parodie des Beatles !
RépondreSupprimerVoir le billet posté après, intitulé "Le tourment de mon cœur est si doux"