Les temps sont durs pour qui a choisi - ou non - de ne pas vivre en couple, pour ceux qui sont éloignés de l'être cher.
La situation, en ces temps de pandémie, ne permet le moindre geste de tendresse, le moindre baiser, la moindre accolade ; c'est une souffrance.
Pour rêver et faire rêver, je publie dès aujourd'hui, et quotidiennement, des images de gens qui s'enlacent, s'embrassent, s'aiment, dans l'espoir de retrouver bientôt les caresses qui enchantent la vie.
Petit entracte dans la publication de mes textes.
Il sera de courte durée, promis !
Il sera de courte durée, promis !
En ce 1er décembre pensons aux malades du SIDA et à ceux qui les accompagnent , combatons encore les idées reçues : https://www.laprovence.com/article/sante/6191802/vihsida-ces-fausses-idees-recues-qui-circulent-toujours.html .
RépondreSupprimerEffectivement, uvdp : en ces temps de pandémie et d'actualité dévorante, la médiatisation de cette journée habituellement dédiée au SIDA est nulle, et je confesse l'avoir oubliée.
RépondreSupprimerSurligner le lien et faire un clic droit pour découvrir l'article, je crains que beaucoup ne le fassent. Je vais rappeler dans la colonne de droite comment insérer un lien dans les commentaires.
Et merci pour ce rappel utile plus que jamais.
RépondreSupprimerJe fais un billet illico.
RépondreSupprimerEt oui : on s'en...lace, mais avec toutes les précautions indispensables.
RépondreSupprimerMerci pour ces billets quotidiens qui éclairent ces journées moroses.