Mais pourquoi n'ai-je jamais rencontré Jakob au Parco Simpione, l'une de mes haltes favorites quand je me trouve à Milan ?
Il s'y ébat souvent, comme le démontrent les deux photos suivantes :
car je suis hors les murs.
Mais pourquoi n'ai-je jamais rencontré Jakob au Parco Simpione, l'une de mes haltes favorites quand je me trouve à Milan ?
Il s'y ébat souvent, comme le démontrent les deux photos suivantes :
Les traductions automatiques de YouTube frisent parfois le ridicule, d'où ce "Shalamay".
Il n'en demeure pas moins que cette entrevue est excellente :
The Brutalist : Phénoménal, envoûtant et beaucoup plus *****
Un parfait inconnu : parfait *****
La Pampa : Émouvant, trépidant, passionné, bouleversant ****(et demie)
Jouer avec le feu : pour Benjamin Voisin ***(et demie)
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The Brutalist : Brody, exceptionnel |
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Un parfait inconnu : Monica Barbaro (révélation) et Timothée... Chalumeau (il m'a enflammé) |
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La Pampa : Amaury Foucher (très bon) et Sayyid El Alami (houlala !) |
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Jouer avec le feu : Benjamin Voisin, de mieux en mieux |
C'est un moment crucial du film de Brady Corbet, pendant lequel on sent le public retenir son souffle (il aura de nombreuses occasions !) : celui où l'on découvre le résultat de la première commande passée à l'architecte interprété par Adrian Brody, une bibliothèque.
Bien sûr, il ne s'agit pas de n'importe quelle bibliothèque. Dans The Brutalist, c'est l'un des premiers aperçus que nous avons du génie du protagoniste du film, l'architecte juif hongrois fictif László Tóth ( Adrien Brody ). Survivant de l'Holocauste, Tóth a récemment émigré aux États-Unis, où sa formation Bauhaus le conduit à une mission improbable dans une demeure rurale de Pennsylvanie appartenant à l'industriel Harrison Lee Van Buren (Guy Pearce). Alors que le piano sostenuto scintillant de la musique de Daniel Blumberg joue en arrière-plan et que des lamelles de lumière tachetée illuminent l'élégante chaise au centre de l'espace, les placards épurés que Tóth a conçus s'ouvrent comme les pétales d'une fleur, révélant les étagères minimales en dessous. C'est à ce moment du film que l'on réalise que Tóth est, sans aucun doute, un maître.
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© Joachim Bertrand |
Disco, I’m Coming Out met en lumière les symboles de la libération sexuelle et de l’émancipation gay dans la société américaine des années 1970 à travers la pénombre d’une discothèque dans laquelle résonnent les bandes-son cultes de Gloria Gaynor ou encore Donna Summer.
C'est l'expo à voir, à entendre et à danser à la Philharmonie de Paris jusqu'au 17 août.
On réserve ici : cliquer
W.A Mozart : Concerto n° 5 en ré Majeur - K175 1 Allegro 2 Andante ma un poco adagio 3 Rondo : Allegro Sviatoslav Richter, piano Japan Shinsei Symphony Orchestra Rudolf Barshai, direction
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Michal Biel et Jakub Józef Orliński - Photo Barbara Aumeuller |
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Sans doute plus "facile" en baskets. |
C'est le nouveau tic de langage en ponctuation, aussi répandu, dorénavant, que le fameux "du coup", tellement moqué par nos cousins du Québec.
Un jeune élève me disait, il y a peu, que chaque fois que cet "en vrai" lui échappait, il pensait à moi, tant je l'ai brocardé à ce propos.
Le présentateur quadragénaire d'une émission télé de début de soirée s'évertue à présent à placer l'expression le plus souvent possible.
Pour "faire jeune", en vrai ?
Intitulée Sacrée et Profane, cette œuvre de Claude Debussy
est interprétée ici par Zachary Hatcher (Harpe)
et cinq de ses confrères de
L'Orchestre symphonique national du Danemark