Vincent par Hervé

Vincent, Villa Medicis | Photo Hervé Guibert, 1989

Guillaume Diop, le talent et la beauté

Au hasard des rues, par Winter Vandenbrick

 

Surcharge de travail
ces jours-ci : je publierai
davantage dès samedi.
Silvano

Longueur, langueur

 

Ah, avoir Benjamin pour voisin !

Jouer avec le feu : Benjamin a conquis la Mostra de Venise 2024.

 Benjamin Voisin est prodigieux (comme toujours)  en jeune mec enrôlé par un groupe de fachos violents, dans Jouer avec le feu, actuellement en salles. Il triomphe tous les soirs dans Guerre, d'après Céline, au Théâtre de l'Œuvre (Paris). Si vous êtes parisien ou avez l'occasion de faire un séjour dans la capitale, ne le manquez pas !

De bon augure

 

Ave, Caesar !

Cesar Daniel, autoportrait

Émouvante ritournelle

Trois versions d' " 'O surdato 'nammurato" (Le soldat amoureux), symbole absolu de la chanson italienne, composée par Enrico Cannio en… 1915, devenue quasiment l'hymne napolitain et, accessoirement, celui des supporteurs de l'équipe de football locale.

Massimo Ranieri la chante en direct à la télévision italienne :

 

C'est la version de Ranieri que reprend Maurice Béjart pour son ballet "Acqua Alta", et que nous voyons ensuite, dansée par le grand Jorge Donn lors d'un gala à Venise, un Jorge Donn soudain transfiguré, i-ta-lien !

En 1971, l'immense Anna Magnani l'interprète dans le film La sciantosa :

  

 *On l'entend une fois, et c'est pour toujours.

Alessandro le beau

Avec son maître et amant, le futur empereur Domitien

Photos : j'ai capturé l'écran, à défaut d'Alessandro (soupirs).

Le jeune acteur italien Alessandro Bedetti, vingt-deux ans, est Hermes, le giton de Domitien, dans la série Those about to die (Prime Vidéo). Ce feuilleton-péplum un peu foutraque, en succédané de Gladiator et de… Titus et Bérénice, réserve toutefois quelques surprises très gays. Et l'on guette avec impatience les apparitions du bel Alessandro, lequel, en civil, est tout aussi craquant :

Bien mieux que YCMA

 I Am What I Am

I am what I am I am my own special creation So come take a look Give me the hook Or the ovation It's my world That I want to have a little pride My world And it's not a place I have to hide in Life's not worth a dam Till I can say I am what I am I am what I am I don't want praise I don't want pity I bang my own drum Some think it's noise I think it's pretty And so what if I love each sparkle and each bangle Why not try to see things from a different angle Your life is a shame Till you can shout out I am what I am I am what I am And what I am needs no excuses I deal my own deck Sometimes the aces sometimes the deuces It's one life and there's no return and no deposit One life so it's time to open up your closet Life's not worth a dam till you can shout out I am what I am I am what I am I am what I am And what I am needs no excuses I deal my own deck sometimes the aces sometimes the deuces It's one life and there's no return and no deposit One life so it's time to open up your closet Life's not worth a dam till you can shout out I am what I am I am I am I am good I am I am I am strong I am I am I am worthy I am I am I belong I am I am Who whoooo etc. I am I am I am I am useful I am I am I am true I am I am somebody I am as good as you Yes I am La chanson est celle de la comédie musicale La cage aux folles, version Broadway.

Bon dimanche !

 

Bob et Joan

Ce cher "Elio", nommé aux Oscar, a bien mûri.
Sa partenaire est, dit-on, remarquable.
Vivement mercredi !

Ailleurs, l'herbe est plus verte

Pas partout, loin de là, hélas !

Télétravail tout confort

 

On a sa pudeur

L'acteur Julien Drion dans la série française Engrenages, en 2008.

Piano du matin, de midi, d'après-midi, du soir et de la nuit

 Avec environ quatre millions de ventes à ce jour, le Köln Concert est l’album du label ECM, de Keith Jarret et de piano jazz le plus vendu de tous les temps.

Combien de fois l'ai-je écouté ?!
Normalement, en cliquant sur la photo, vous accédez au site.
Dans le cas contraire, cliquez ICI

Apesanteur

Ric Arango par Bruce Weber 1989

Bientôt sur nos écrans

Daniel Craig et Drew Starkey

Queer, de Luca Guadagnino (Call me by your name), d'après William S. Burroughs,

sort le 26 février dans nos salles.
Patience !

My name is Bond, James Bond !

De Staël

Nicolas de Staël

 

Paul Kircher sur scène

Photo Adam Peter Johnson

Paul Kircher est au Théâtre de la Porte Saint-Martin jusqu'au 6 avril. Il joue Les idoles, la pièce écrite et mise en scène par Christophe Honoré.
À ses côtés, Harrison Arévalo, Jean-Charles Clichet, Marina Foïs, Julien Honoré et Marlène Saldana.
Lien vers le site du théâtre : clic

Dans Les idoles | Photo Jean-Louis Fernandez

Toujours d'actualité

Heureusement, Mozart !

Mitsuko Uchida, piano et direction Camerata Salzburg

Difficile de rire

 J'ai beau être un "stressé optimiste", force m'est de reconnaître que l'accession au pouvoir de l'ex-nouveau président de la plus grande puissance mondiale me glace le sang. La présence, au nombre des invités aux festivités, de trois représentants de la France qui pue, proclamant, sans vergogne, qu'une ère de liberté vient de s'ouvrir (!), n'est pas faite pour dissiper l'odeur fétide qui se dégage de l'air ambiant.
Quel sale temps !

Empêcheur de franchouiller en rond

Merci pour tout, Monsieur.

Toujours utile

 

Quand on n'a pas les mots

 

Hommage

Le lundi, je suis mal luné

Erin Mommsen par Sarah Benjamin

Je respire où tu palpites

Victor Hugo (in Les contemplations)

Une ode à la femme, sans doute.
Mais l'Amour est universel.

Vue de toits, effets de neige (Musée d'Orsay)

Gustave Caillebotte en 1878

Ange dimanche

 

Roberto par Igor Mattio, 1994

Et un Oscar, un !

En 2013, dix ans avant sa mort, le grand Ryuchi Sakamoto parcourut le monde pour une série de concerts symphoniques. Ici, au piano, il joue un extrait de la bande originale du film de Bertolucci Le dernier empereur, avec le Tokyo Metropolitan Symphony Orchestra. Le film reçut l'Oscar de la meilleure musique en 1987.

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Préparer le "brunch"

Photo de Gerardo Vizmanos

Mon cher piano

Elliot Meeten par Bartek Szmigulsk

"Cheveux d'or" dort

 

David Lynch : mort d'un grand

 Certains diront qu'Elephant Man n'est pas son meilleur film.
Il est spontanément venu à ma mémoire quand j'ai appris la mort du cinéaste.
Pour moi, c'est une dénonciation de la haine suscitée par la différence, dans l'Angleterre victorienne, celle du bannissement d'Oscar Wilde, dans laquelle se déroule le Maurice de E.M. Forster, porté à l'écran par James Ivory en 1987.
Selon moi, cependant, Mulholland Drive demeure son chef-d'œuvre. Parce qu'il fait appel à l'intelligence du spectateur, en témoignage du profond respect que lui voue son auteur.
Enfin, je garde au cœur l'apparition de Lynch à la fin du très beau film de Steven Spielberg The Fabelmans : vive le cinéma !

Toute la filmographie de David Lynch ici.

Ô Marco !

 

Marco Bozzato par Giuseppe Morello

Prévention utile

On peut ajouter Pour Elise de Beethoven (les toutes premières mesures).

Star system

On est dans l'étang

 

Alangui

En immersion

Piano du matin: Brahms nous aime

Lugansky est un grand pianiste au service de pages sublimes.

Coquines !

 

Chaud devant !