Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


lundi 30 avril 2018

Que faire ce lundi ?


Je recommence à publier "sérieusement" mercredi.
Merci d'être restés.

Oui, que faire ?

jeudi 26 avril 2018

Un éternel recommencement

Les supports-chaussettes sont de retour ?
Bigre !

Le garçon très fouloulou de la photo se nomme Pietro Boselli.
Quand il ne pose pas (pour notre plus grand plaisir) en petite tenue pour de grandes marques de la mode masculine, il enseigne les mathématiques à l'université de Londres.
On s'inscrit ?

mardi 24 avril 2018

Faire l'amour ou rien


Des anges quand même

"Mais où peut-il être ?"

Je ne suis pas chez moi cette semaine,
mais ne vous abandonne tout à fait :
il y aura des anges tous les jours.
Je répondrai aux commentaires en rentrant.





À ceux qui m'écrivent : nouvelle adresse de messagerie

Attention, la fusion AOL/Yahoo a pour effet que je n'ai plus accès à ma boite-aux-lettres "detoizamoi".
Merci à ceux qui ont pour (bonne) habitude de m'envoyer leurs mots doux de m'écrire à cette nouvelle adresse : silvanomangana@gmail.com
Même si vous n'avez rien de particulier, envoyez-moi un message : ainsi, je récupèrerai votre propre adresse, merci !
(Le lien de la colonne de droite a été modifié en conséquence.)

Note : 
je remercie d'ores et déjà ceux qui se sont manifestés de puis samedi dernier.

lundi 23 avril 2018

Pour la valise, faire une liste.


J'espère n'avoir rien oublié.
Je publierai vos commentaires 
et y  répondrai dès que possible.

2013-2018 : 5 ans !

Christiane Taubira, femme d'honneur

Vous avez dit bizarre ?


Je ne sais  à quel jeu se livre ce jeune homme, fort bien fait de sa personne au demeurant.
Fantaisie de photographe ?
La recherche d'image ne m'apprend rien.
Si quelque fin limier a la solution...
 

Je vais lire tout ça.

Oui, parfaitement !
Et ôter cet  horrible machin à carreaux, promis !

dimanche 22 avril 2018

BoJosh

Il est beau gosse, ce Josh Sorrentino.
Joseph Lally l'a très bien photographié.

Carte postale




C'est une carte postale de Juan-les-Pins.
Je situerais la période aux années 70 : les deux garçons, au premier plan, ont peut-être connu les protagonistes de Tombe, Victor ! ...





Tout récemment, en application de la "loi littoral", les établissements de plage et restaurants construits "en dur" ont dû être démolis.
Ce qui ne s'est pas fait sans susciter la colère de leurs "propriétaires" auxquels il a fallu rappeler que les concessions accordées (parfois en catimini) n'étaient pas éternelles.
Sur la photo, outre les deux anges-au-bateau, ont notera combien l'espace public est dégagé.
En opposition aux plages "privées", ceci était une plage "libre".
Avant qu'on ne trouve de nouveaux tours de passe-passe pour contourner la loi, elle l'est redevenue.

En attendant...
Bon dimanche !

Cadeau : le pianiste fou a encore frappé !



Oublions la fâcheuse tendance actuelle qu'ont les hommes jeunes à s'enlaidir en laissant une forêt vierge envahir leur visage, oublions que Daniil Trifonov, par là même, ressemble de plus en plus à Raspoutine : son interprétation, ci-dessus, de la galvaudée Campanella de Paganini/Liszt est... diabolique !
Elle parvient à faire oublier les interprétations des plus grands.



jeudi 19 avril 2018

Comme dans un vieux rêve


Absorbé



The Duke



Il était bien mignon, John Wayne dans sa jeunesse.
En vieillissant, et nonobstant les chefs-d’œuvre tournés avec l'immense John Ford, l'homme devint légèrement facho sur les bords et au milieu. Si Alamo, réalisé avec la collaboration du maître, reste plus que regardable, l'autre film qu'il mit en scène, Les bérets verts, révèle à quel point l'acteur était un fieffé réactionnaire.
Il n'en demeure pas moins qu'il fut, dans sa jeunesse, du genre de garçons avec lesquels on aimerait jouer aux cowboys et aux indiens.

Douce France

mercredi 18 avril 2018

Les joies du camping

Tout porte à croire qu'il s'agit
du garçon au tuyau (d'arrosage)
de samedi dernier (là !).
Qu'en pensez-vous ?

Le printemps fait comme chez lui

Photo Rasmus Ledin pour Deviant Art

Dans les rues de Naples

Mario Cattaneo, Vicoli di Napoli - 1951
Ce qui est fascinant dans cette ville, c'est qu'elle ne change pas.
Même si elle n'échappe pas aux évolutions de la technologie - l'Italien consomme du "smartphone" avec frénésie - la ville de feu a gardé au fil des ans son authenticité, son âme. Je revoyais récemment un très vieux film avec Sophia Loren où je pouvais identifier instantanément les lieux que la belle actrice parcourait : quand il faut maints efforts pour reconnaître tel ou tel quartier de Paris dans un film des années cinquante, ici tout semble immuable, notamment dans la Sanità, là ou le touriste frileux n'ose mettre les pieds (tant mieux ?).
Sur la photo ci-dessus, les gamins, descendent, c'est certain, vers le port où ils se baigneront en contrebas de la promenade : je les ai retrouvés il y a peu, au même endroit, par une fin d'après-midi d'août, éternels.


 Je les ai retrouvés, éternels. (Silvano 2015)


mardi 17 avril 2018

Si les passants savaient...


Mon corsaire bien aimé

Jessey Stevens par Ricky Cohete

Pauvre Sirmione


Avec son magnifique château Scaligera (XIIIè siècle), Sirmione est un site exceptionnel sur le lac de Garde. Malheureusement, les lieux subissent l'invasion quotidienne de hordes barbares de toutes origines qui bivouaquent sur les espaces verts, y bâfrent leurs hot-dogs, sandwiches et autres gelati entre deux egoportraits*, sans la moindre considération pour les merveilles qui les entourent.
Les marchands du temple s'en donnent à cœur joie sitôt passé le mur d'enceinte.
Finalement réservé à qui peut s'offrir le seul restaurant gastronomique ouvert le soir, quand les troupeaux ont poursuivi leur transhumance.
Navrant.


*Certain(e)s appellent ces choses "selfies".
"Egoportraits" est une appellation fort judicieuse venue évidemment de nos cousins du Québec.

Adieu à Milos Forman

lundi 16 avril 2018

Pause télé



Sur ma route


Au fil de mes pérégrinations, c'est tout à fait le genre de personne que j'aime rencontrer.
Il s'agit ici d'un modèle nommé Dominik Tarnowski.

Hors de ce temps qui nous broie



Pour accompagner notre début de semaine, je n'ai pas trouvé mieux.
C'est une adaptation au piano de cette œuvre pour orgue de César Franck.
L'altier Nikolai Lugansky la joue à merveille.


Vous avez la chance d'avoir un petit jardin, une courette, un coin tranquille où vous vous êtes assis, livre en main.
La musique s'échappe des fenêtres de la vieille maison.
Ça ressemble fort au bonheur.

dimanche 15 avril 2018