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| Que Viva Mexico ! |
Il est étrange que le cinéaste du Cuirassé Potemkine, d'Alexandre Nevski (ah, la musique de Prokofiev !) ou d'Ivan le Terrible, n'ait pas eu à subir la vindicte du régime soviétique, malgré la révélation tardive de son homosexualité lors du tournage de Que viva Mexico !, pendant lequel il développa une relation amoureuse avec un jeune homme du cru. En raison, vraisemblablement, du fait qu'en signant Octobre à la gloire de la révolution bolchevique, le régime ferma les yeux sur ce "vice bourgeois" qu'il vilipendait de coutume.
Les œuvres graphiques du cinéaste, oniriques et joyeuses et ne laissent aucun doute sur ses fantasmes.
Échantillon :
Nota
On sait qu'Eisenstein, sans passer à l'acte toutefois, fut amoureux de certains de ses acteurs.
Le fut il de Nikolaï Tcherkassov, qui déclencha l'un de mes coups de cœurs lorsque je vis Alexandre Nevski au Ciné Club de ma jeunesse ?
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| N. Tcherkassov dans Alexandre Nevski |
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