Il faudra penser au trousseau de ce jeune homme |
Pendant que chutent les ventes de CD, on note un réel engouement pour les disques vinyle.
Le son analogique, non compressé par définition, offre une pureté inégalée à ce jour.
Dans mes relations, un jeune homme s'est dit conquis l'autre soir à l'écoute d'un très vieil enregistrement exhumé de ma discothèque : il me dit prendre plaisir aux craquements de la galette antédiluvienne...
On trouve heureusement dans les échoppes spécialisées des disques à l'état neuf qui ne craquent pas, pour peu que l'on dispose d'une bonne table de lecture amoureusement entretenue.
Ma platine Thorens, acquise d'occasion en parfait état, s'est vue offrir récemment une excellente cellule et un pré-ampli ad-hoc.
Elle me dispense d'intenses moments de bonheur, tel celui éprouvé ce matin à l'écoute de la Sérénade pour cordes de Tchaïkovski dirigée par Ferenc Fricsay (Heliodor 89822).
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