Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


vendredi 21 février 2014

Preux militaire


12 commentaires:

Roland a dit…

Un destin extraordinaire...que l'historien ne peut négliger.

Pierre a dit…

"Ah que j'aime les militaires", comme dirait la Grande Duchesse...

Gaultier a dit…

N'est-ce pas Sir Winston Churchill ?...
L'uniforme lui seyait à ravir.

Silvano a dit…

Cher Gaultier, j'ai beaucoup de mal à imaginer Churchill ainsi.

Silvano a dit…

@Pierre : grand classique !

Gaultier a dit…

J'insiste, cher Silvano...
Après vérification (j'ai la conscience opiniâtre), il s'agit bien d'un Winston Churchill frais émoulu de Sandhurst, en 1895, alors qu'il vient d'être affecté comme Cornet au 4th Queen's Own Hussars...
Si vous doutez de moi, tapotez Winston Churchill 1895 sur un moteur de recherche bien connu...
Comme j'aurais aimé être élève officier au Royal Military College à cette époque - question d'élégance, et de déshabillage !

Silvano a dit…

Mais je vous crois, Gaultier, et j'aurais dû écrire : "on a beaucoup de mal...", vu l'image qu'on garde de lui.

Gaultier a dit…

Il ne fallait y voir nul courroux, nul agacement de ma part, cher Silvano !
Quant une question me taraude, il faut que je la résolve...
Je vous rejoins sur l'image que nous avons gardé de cet homme...

Anonyme a dit…

Pas réjouissant vos conversations. Qu'allons nous devenir avec l'outrage des années ?

Jeremy

Silvano a dit…

Churchill a très bien vieilli : il a été un grand homme d'état, un maître en politique, qui aimait les arts, dont la peinture. Il y a pires vieillissements.

Last 3xit a dit…

Très belle photo du jeune Winston (qui ressemble beaucoup à sa mère, avec ses traits encore enfantins, presque féminins), comme on les faisait à l'époque, avec un backdrop très classique servant de repoussoir.

L'autobiographie de Churchill, publiée en français sous le titre "Mes jeunes années" ("My Early Life" en anglais), se lit comme un roman de Conrad ou de Maugham. Elle est révélatrice d'une époque, d'une société, d'une jeunesse, d'une lecture du monde, d'un mode de vie aujourd'hui révolus et d'une trajectoire personnelle.

Anonyme a dit…

En Hongrie, la conscription se faisait sur la base d'un homme sur vingt.
C'est l'étymologie du mot "hussard".
Celui là, aurait sa place dans "Senso",
Roger