Devienne par David |
Dans une période où les allemands règnent en Maîtres (Haydn, Mozart, Beethoven), François Devienne (1759-1803) surnage dans le marigot où la musique française est tombée, loin d'un Grand Siècle où elle excella. Certes, nul génie dans cette œuvre résolument classique, mais quelques joyaux, dont ce concerto pour flûte et orchestre joué ici (là-bas, au Venezuela, plutôt !) par l'excellent Philippe Bernold.
Parfait pour un dimanche matin.
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