Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


lundi 4 août 2014

Garçon lisant

Le regretté River Phoenix dans Running on empty (À bout de course) de Sidney Lumet (1988)

Mes livres pour l'été :

Lion ardent Christian Combaz
Venises (!) Paul Morand (malgré tout*)
Le monde d'hier Stefan Zweig
Eva dort Francesca Melandri
Gainsbourg Gilles Verlant

* Grand écrivain, mais collabo notoire, dépeint par certains de ses contemporains comme antisémite et homophobe, ce qui n'apparaît pas dans les premières pages (dévorées) de ce passionnant ouvrage en cours de lecture.

8 commentaires:

Ludo C moa a dit…

Bonjour,
Le lecteur est River Phoenix non ? Mais dans quel film ? Je ne vois pas !

Silvano a dit…

Effectivement, c'est lui. Mais, hélas, je me pose la même question : il suffit peut-être de recouper sa filmographie. Dès que je peux...

Silvano a dit…

Trouvé : Running on empty (1988) de Sidney Lumet (ce qui n'est pas rien !)

Silvano a dit…

Titre français : À bout de course.
Je fais un long billet dimanche prochain.

tequila-sunrise a dit…

Le regretté comédien River Phoenix parti bien trop tôt, à l'aube d'une brillante carrière qui s'annonçait et qui fut emporté par les affres de le drogues. Si émouvant dans My own private Idao, si touchant de vérité dans Stand by me, si aventureux en Indiana Jones jeune dans Indiana Jones et la dernière croisade, si plein de vie dans The Mosquito Coast.

Silvano a dit…

@tequila : j'ai tronqué la fin, qui "grillait" mon billet de dimanche prochain.

Ludo C moa a dit…

Merci pour l'info, j'ai toujours adoré cet acteur (nous aurions le même âge) même si je n'ai pas tout vu de ce qu'il a fait.
Pour le côté drogué, j'ai peu de doute la dessus. Cependant, pas mal d'articles ont circulé lorsqu'il est mort (interview de Johnny Depp entre autre) pour dire qu'il ne se droguait pas et qu'il avait été assassiné par un groupe qu'il avait suivit (piqué de force et en trop forte dose) Mais Évidemment, on ne saura jamais la vérité.

Arthur P. a dit…

Le monde d'hier est un livre admirable. Zweig y appelle de ses vœux une Europe unie, seule garantie contre les guerres. C'est à méditer.