Les statistiques - que je consulte de temps à autre, sans fébrilité néanmoins - révèlent un regain d'intérêt pour ce journal entre chien et loup, et c'est bien si cela permet de découvrir tout le reste.
Les bonheurs récents, le séjour en Toscane, m'ont quelque peu égaré ces jours derniers : ainsi, hier, j'ai oublié - sacrilège ! - notre rendez-vous quotidien, et, la semaine dernière, j'ai publié 2 fois la même photo, consécutivement, de plus !
Ce qui m'a valu un joli commentaire de Marie : Gay Cultes bégaie, et c'est charmant !
Pour confirmer ma distraction, Gaëtan, lui, me faisait remarquer que j'avais posté la même image (un beau garçon en milieu forestier) à quelques jours d'intervalle.
Où ai-je la tête en ce moment ?
Mon rédacteur en chef m'a tancé vertement dans le miroir, sachez-le.
Couvert de cendres après une sévère séance d'autoflagellation, je reviens vers vous contrit, et, pour me faire pardonner, vous offre ce petit florilège.
Si un joli garçon, habillé ou non, veut m'aider à faire le tri dans un catalogue pléthorique, je suis preneur (non, il n'y a pas de sous-entendu !).
Je suis pardonné, dites ?
7 commentaires:
Pardonné sans aucune hésitation. Hier, j'ai simplement eu peur que vous soyez souffrant. Tous très beaux les anges de 18 heures ce soir.
Jeremy
Vade in pace ! ...avec les anges.
Oublie très largement pardonné car vous publiez de très belles photos de beaux garçons et d'architecture italienne qui nous (moi en tout cas) font voyager dans un pays que j'aimerais visiter. Que pensez vous d'ailleurs de l'ouverture au public du jardin privé du pape.?
Que du bien, Gaëtan ; qu'on donne à voir également les appartements, et ce sera parfait. Le pape des pauvres se contentera sans doute d'une modeste cellule dans un couvent.
Ah s'il pouvait y avoir des mea culpa comme celui ci chaque jour...
Mais, nous vous aimons, Silvano, nous n'avons donc pas à vous pardonner!
Continuez, je vous prie de perdre la tête pour vos bonheurs, le contraire serait sacrilège...
Marie
Encouragements et invitation à apporter de nouveaux "bégaiements" à Marie.
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