De récents faits-divers ont montré qu'il ne fait pas bon afficher ses amours différentes, hors des quartiers réservés.
Observant, dans le métro parisien, un couple "hétéro" s'épanchant sans retenue, un jeune homme me faisait remarquer qu'il était encore à venir le temps où deux amoureux de même sexe pourraient simplement se tenir la main.
À Florence, cependant, j'ai croisé de nombreuses fois - et encore récemment - des garçons enlacés ; il est vrai que la ville administrée par M. Renzi est, de longue tradition, un exemple de tolérance dans ce domaine.
Messieurs Da Vinci, Botticelli, Lippi, Buonarotti, et autres artistes d'importance, n'eurent pas à s'en plaindre.
5 commentaires:
Bonne promenade. Que votre amour inspire le poète.
La liste est longue... Déambuler main dans la main avec Tommaso Cavalieri...
Alors faut ajouter Montréal à ta trop courte liste de villes où les couples de même sexe peuvent s'enlacer et même s'embrasser comme tout autre couple hétéro.
En se baladant dans la ville de Montréal, il n'est pas rare de voir des couples gais et lesbiens se tenir main dans la main ou par la taille et s'embrasser aussi sans le moindre problème...
Ici au Québec, le mariage gai est loi depuis 2003 alors on a fait beaucoup de progrès sur l'acceptation auprès du grand publique hétéro.
J'enseignais dans une école secondaire (lycé) et on était 4 gais et 3 lesbiennes dont l'une occupait même le poste de directrice adjointe.
La commission scolaire avait aussi un règlement qui protégeait les LGBT à son emploi contre TOUTE discrimination.
Il fait bon vivre ici...
FIRENZE a toujours protégé les artistes , évidemment, et les "gay" bien évidemment, les efebi y ont toujours un traitement de faveur et c'est un enchantement tant pour les yeux que pour la ville elle même, mais Florence n'est pas la seule ville dans ce cas, Napoli est bien plus tolerante que le nord, et nous ne citerons pas Venezia bien que fermée, et notre irremplaçable Sicilia...
Naples et la Sicile ? Comme vous y allez ! Peut-être au 19ème siècle. De nos jours, c'est une autre histoire.
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