Le journal quotidien - non hétérophobe - de Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.
"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)
samedi 11 juillet 2015
Mais pourquoi...
se
tatouent
-
ils
tous
?
7 commentaires:
Kigou
a dit…
C'est une question que je me posais en faisant les soldes il y a une semaine. J'étais, moi, le vierge cutané, l'anachronisme ! Même si je trouve cela sexy en diable (ben oui...), mais l'aspect irrémédiable... Il est tellement difficile (à raison sans doute) pour l'homme de se projeter dans l'avenir...
oh ! ça me rapelle (le titre) un exercice de diction : ton thé t'a-t'il ôté ta toux, didon de dordogne ? oui, je sais... j'vais m'recoucher, mais sans un tatoué... dommage, car il semble mignon à souhait !
Probablement de "vieux" restes tribaux ancrés au fond de leur cerveau reptilien, lequel, comme tout le monde le sait est utile à la survie de l'espèce. En fait, c'est une mode quoi! Dommage que cela soit indélébile.
Mode et sentiment d'appartenance sans doute plus encore!! sorte de viatique de jeunisme. D'ailleurs le vieil atrabilaire Jean Clair a fait dans un de ces derniers opus une charge brillantissime contre cette mode demandant aux "jeunes gens" d'imaginer leur peau fripée comme elle le sera immanquablement passés les cinquante ans ou plus... bref conflit de génération: mais le caractère indélébile de cette mode est ennuyeux.
7 commentaires:
C'est une question que je me posais en faisant les soldes il y a une semaine. J'étais, moi, le vierge cutané, l'anachronisme ! Même si je trouve cela sexy en diable (ben oui...), mais l'aspect irrémédiable... Il est tellement difficile (à raison sans doute) pour l'homme de se projeter dans l'avenir...
oh ! ça me rapelle (le titre) un exercice de diction :
ton thé t'a-t'il ôté ta toux, didon de dordogne ?
oui, je sais... j'vais m'recoucher, mais sans un tatoué... dommage, car il semble mignon à souhait !
Il est pas tatoué, il est tamoué
oui je sais , je sors...
Probablement de "vieux" restes tribaux ancrés au fond de leur cerveau reptilien, lequel, comme tout le monde le sait est utile à la survie de l'espèce. En fait, c'est une mode quoi! Dommage que cela soit indélébile.
Tant pis pour eux, Philippe.
Quel gâchis en effet, le corps est si beau au naturel. Et de plus ils se rasent tous :(
Mode et sentiment d'appartenance sans doute plus encore!!
sorte de viatique de jeunisme.
D'ailleurs le vieil atrabilaire Jean Clair a fait dans un de ces derniers opus une charge brillantissime contre cette mode demandant aux "jeunes gens" d'imaginer leur peau fripée comme elle le sera immanquablement passés les cinquante ans ou plus...
bref conflit de génération: mais le caractère indélébile de cette mode est ennuyeux.
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