Quand nous sortions du lycée, on filait au "Milk" et en fîmes, je crois, dans la France replète des trente glorieuses, le lieu de toutes les libertés, où ce chant tournait en boucle, dans le "juke-box".
C'est le chant de toutes les résistances, qui éveilla nos jeunes consciences.
Merci, M. Cohen.
5 commentaires:
Une page de notre jeunesse...Tristesse et nostalgie...
C'est une journée de deuil à différents titres. Les paroles d'Anna Marly rappellent que ni pays ni résistances n'ont à faire avec les frontières.
Celeos : il est de plus en plus difficile de garder confiance en l'humanité. Mon optimisme naturel prend de sacrés coups actuellement.
Douloureux et beau.
Ne désespérons jamais, Silvano.
Je ne connais pas bien Leonard Cohen : je vais le découvrir, car je lis de très belles choses sur ce Monsieur.
Jules
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