Je n'en rajouterai pas, car il y a des émotions difficiles à partager, et il y avait, j'en suis sûr, des dizaines de gorges nouées dans la salle (pleine, ça rassure).
J'aime bien le titre de la chronique de Thomas Sotinel dans Le Monde du 22 août : "une contagion de la colère, de l’amour et du partage".
Car oui, le film est aussi (et surtout ?) un film sur l'amour : un bel amour, un véritable amour.
Sean (Nahuel Perez Biscayart) et Nathan (Arnaud Valois) : un véritable amour. |
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